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Prolégomènes
0.1 Présentation
Les néologismes “journel” et “journeliste” ne seraient-ils applicables qu’à l’auteur de ces lignes? Absolument pas! Que nenni! En francocanadien: comme pas pantoute!
De nombreux scientifiques, artistes, professionnel(le)s divers(es), gens ordinaires occupent un espace dans un réseau quelconque, parfois même ont leurs propres réseaux sociaux.
Il importe cependant de distinguer trois types de “blogueur(e)s” opérant sur la blogosphère: les journelistes; les “bluffer(e)s” et.
Les interacteur(e)s n’ont pour objectif que communiquer des opinions ou sentiments personnels, vendre des objets ou services, transmettre de l’information et autres objectifs. Ne peuvent se voir qualifié(e)s de journelistes.
Les “bluffer(e)s” racontent n’importe quoi axées sur des croyances, des préjugés, des allégations etc. Aux antipodes du journelisme!
Nous décrivons ici les deux conditions constituant les paramètres de toutes formes de journelisme.
0.2 Préalables
0.22 0 Présentation générale; 0.2 Symbolique du montage graphique.
0.23 00 Lexiques; Présentation générale.
0.24 03 Le Petit Notionnaire; Présentation
0.3 Références
F. Gaffiot, Dictionnaire latin-français, Hachette, 2008
J. Dubois, Le Lexus -le dictionnaire érudit de la langue française, Larousse, 2009.
Le grand dictionnaire terminologique du Québec [GDT].
M.-E. De Villers, Multidictionnaire de la langue française, Québec Amérique, 2009.
P. Robert, Le Petit Robert, Le Robert, 2011.
R. Mortier, Dictionnaire Quillet de la langue française, Aristide Quillet.
0.4 Terminologie
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Argumentation
1.1 Validité des contenus
Le journelisme doit s’avérer aussi crédible que le journalisme professionnel. À cette fin, se doit de référer à des données validées par des références à des oeuvres rationnelles quant à leurs démarches intellectives, avérées quant à leurs conclusions.
En premier lieu, importe-t-il de faire appel aux données validées de la science et de la technologie. Est scientifique ce que qualifie des données établies, impératives, absolues ou presque. Est technologique ce que qualifie des données systématiquement et incontournablement applicables.
Les études empiriques et leurs conclusions ne répondent pas à ces critères d’évaluation. N’ont de scientifiques que la prétention. Les résultats de ces études dépendent de trop de facteurs subjectifs pour s’avérer «établis, impératifs, absolus». La durée de vie de ces résultats demeure en effet assez courte, ces résultats se voyant démolis par d’autres études “scientifiques”!
En premier lieu, importe-t-il de faire appel aux données validées de la science et de la technologie. Est scientifique ce que qualifie des données établies, impératives, absolues ou presque. Est technologique ce que qualifie des données systématiquement et incontournablement applicables.
Les études empiriques et leurs conclusions ne répondent pas à ces critères d’évaluation. N’ont de scientifiques que la prétention. Les résultats de ces études dépendent de trop de facteurs subjectifs pour s’avérer «établis, impératifs, absolus». La durée de vie de ces résultats demeure en effet assez courte, ces résultats se voyant démolis par d’autres études “scientifiques”!
1.2 Circonspection
au regard des extrapolations
Se fier à la science ne signifie pas nécessairement se fier aux scientifiques!
Se fier à la technologie ne signifie pas nécessairement se fier aux technologues!
S’impose la même circonspection qu’envers les ignares s’affichant comme de grand(e)s connaisseur(e)s!
Se fier à la technologie ne signifie pas nécessairement se fier aux technologues!
S’impose la même circonspection qu’envers les ignares s’affichant comme de grand(e)s connaisseur(e)s!
Ainsi importe-t-il de se méfier de ces savantissimes physiciens qui, s’aventurant hors des strictes limites de leurs sciences, éjaculent des théories fantasmagoriques, chimériques, arbitraires voire fallacieuses telles les multivers, la provenance de l’univers d’un vaste trou noir, l’émergence de l’univers du néant etc.
Importe-t-il également de se méfier des tenant(e)s de théories supputant que les croyances religieuses ou autres formes de crédulités populaires doivent être considérées comme équivalentes, parallèles et/ou de valeurs comparables aux données de la science.
Encore plus ambitieux: pour d’irréductibles croyant(e)s, la science doit-elle prouver l’authenticité des doctrines religieuses, non pas la religion se laisser “intoxiquer” par les sciences profanes. Deux exemples:
- Le Grand Boum prouverait la création de l’univers ex nihilo telle qu’enseignée par la bible...
- L’homosexualité serait une maladie, justifiant ainsi son interdiction par les diktats religieux...
- Le Grand Boum prouverait la création de l’univers ex nihilo telle qu’enseignée par la bible...
- L’homosexualité serait une maladie, justifiant ainsi son interdiction par les diktats religieux...
Importe-t-il également de se méfier des promesses technologiques:
- La technologie, qui a créé la crise climatique, ne résoudra pas la dite crise!
- L’intelligence artificielle (qui n’a d’intelligence que la prétention!), quoique progressivement plus performante que l’intelligence humaine, ne s’avérant rien d’autre qu’un système technologique autogéré, ne supplantera jamais l’intelligence humaine. Pourquoi? Parce que ne deviendra jamais un organe vivant! Sauf dans les films de science fiction...
- La technologie, qui a créé la crise climatique, ne résoudra pas la dite crise!
- L’intelligence artificielle (qui n’a d’intelligence que la prétention!), quoique progressivement plus performante que l’intelligence humaine, ne s’avérant rien d’autre qu’un système technologique autogéré, ne supplantera jamais l’intelligence humaine. Pourquoi? Parce que ne deviendra jamais un organe vivant! Sauf dans les films de science fiction...
Notons enfin que les statistiques ne s’avèrent nullement prédictibles. Tout au plus ne manifestent-elles qu’une tendance actuelle fluctuante. Les exemples sont multiples:
- La CAQ, parti politique québécois qui dominait outrageusement dans les sondages et les élections pendant quelques années, voit en ce moment ses appuis s’écrouler.
- Les deux quarts-arrières (d’un sport faussement appelé football parce qu’il s’agit de rugby nord-américain) qui se sont affrontés au “superbowl” 2024, ont connu un destin similairement différent! Patrick Mahomes fut choisi 10ème lors du repêchage par les Chiefs de Kansas City. Ses statistiques au football universitaire ont joué un rôle décisif. Par contre son adversaire, Brock Purdy, malgré des statistiques non moins spectaculaires au niveau universitaire, ne fut choisi que 262ème par les 49ers de San Francisco.
- Le gardien de but des Canadiens de Montréal, Samuel Montambeault, fut sélectionné 77ème au 3ème tour par les Panthers de la Floride. Ces derniers l’ont abandonné au “ballotage” et le Canadien l’a réclamé. Aux yeux des “experts” à l’époque, rien là pour laisser présager au jeunot un avenir glorieux! S’avère en ce jour le quasi gardien no.1!
- La CAQ, parti politique québécois qui dominait outrageusement dans les sondages et les élections pendant quelques années, voit en ce moment ses appuis s’écrouler.
- Les deux quarts-arrières (d’un sport faussement appelé football parce qu’il s’agit de rugby nord-américain) qui se sont affrontés au “superbowl” 2024, ont connu un destin similairement différent! Patrick Mahomes fut choisi 10ème lors du repêchage par les Chiefs de Kansas City. Ses statistiques au football universitaire ont joué un rôle décisif. Par contre son adversaire, Brock Purdy, malgré des statistiques non moins spectaculaires au niveau universitaire, ne fut choisi que 262ème par les 49ers de San Francisco.
- Le gardien de but des Canadiens de Montréal, Samuel Montambeault, fut sélectionné 77ème au 3ème tour par les Panthers de la Floride. Ces derniers l’ont abandonné au “ballotage” et le Canadien l’a réclamé. Aux yeux des “experts” à l’époque, rien là pour laisser présager au jeunot un avenir glorieux! S’avère en ce jour le quasi gardien no.1!
Bref, qu’il s’agisse de journalisme professionnel ou de journelisme particulier, la circonspection s’impose en tout temps.