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Prolégomènes
Cet article n’a pas pour but d’entreprendre un cours d’histoire, d’archéologie, de spiritualité antique, d’ingénierie, d’architecture, d’infographisme ou autres sciences et techniques.
Ne sont traités que les élément permettant d’expliquer la symbolique du photomontage symbolisant la démarche métaphysique qui est nôtre ici.
0.1 Préalables
0 Présentation générale; 0.1 Le présent journel.
0.2 Prérequis
Suggestions de lectures:
La vallée de l’Indus. Très excellent article. La mise en garde qui le précède est abusive. De nombreuses références sont offertes en fin d’articles reflétant diverses interprétations de l’archéologie et de l’histoire.
La civilisation Meluhha. L’article en dit suffisamment long à propos de cette civilisation telle que connue par les mésopotamiens.
Observatoire astronomique d’un site de la Vallée de l’Indus.
Études menées par de vrais «Jos-connaissants» des affaires méluhhiennes: des INDIENS DES INDES!
0.3 Terminologie
Cosmos;
Journel;
Métaphysique;
Ontophysique;
Physique;
Planétoile;
Prolégomènes/introduction etc.
La Symbolique
du photomontage
Meluhha: la mère de toutes les métaphysiques?
Il y a cinquante ans ou quelque, on prenait pour acquis que la civilisation grecque se positionnait comme la mère de toutes les métaphysiques.
L’histoire de la civilisation grecque remonte à 800 ou 900 ans avant notre ère; cette civilisation a progressivement enrobé la Mer Méditerranée. Les grands penseurs et personnages s’originaient d’un peu partout sur ce territoire, ce à des époques différentes.
Le mot «philosophie» recouvrait de nombreuses approches intellectuelles: logique, mathématiques, géométrie, physique, métaphysique, médecine, la pensée politique, les Arts. Elle se différenciait de la technique, laquelle visait non la gestion de la pensée mais celle de la pratique.
Or les Grecs n’ont probablement pas tout inventé. Une brillante civilisation les a précédés de plusieurs millénaires, fortement en avance sur toutes les civilisations existantes à l’époque. Les Mésopotamiens la baptisaient «Meluhha». Il s’agit de la vallée de l’Indus et de la Sarasvatî.
L’histoire de la civilisation grecque remonte à 800 ou 900 ans avant notre ère; cette civilisation a progressivement enrobé la Mer Méditerranée. Les grands penseurs et personnages s’originaient d’un peu partout sur ce territoire, ce à des époques différentes.
Le mot «philosophie» recouvrait de nombreuses approches intellectuelles: logique, mathématiques, géométrie, physique, métaphysique, médecine, la pensée politique, les Arts. Elle se différenciait de la technique, laquelle visait non la gestion de la pensée mais celle de la pratique.
Or les Grecs n’ont probablement pas tout inventé. Une brillante civilisation les a précédés de plusieurs millénaires, fortement en avance sur toutes les civilisations existantes à l’époque. Les Mésopotamiens la baptisaient «Meluhha». Il s’agit de la vallée de l’Indus et de la Sarasvatî.
Cette civilisation a émergé il y a environ 8 500 ans et a disparu il y a environ 4 000 ans.
Voici en photos quelques caractéristiques impressionnantes.
Voici en photos quelques caractéristiques impressionnantes.
La première photo illustre le territoire habité par les Meluhhans: en vert, les régions à forte densité de population; autres couleurs, là où les populations semblaient plus dispersées.
La deuxième photo illustre à quel point ces gens maîtrisaient le génie urbain. Des millénaires avant les Romains, leurs bourgs et cités étaient dotés d’aqueducs et d’égouts. Les résidences étaient sises le long des égouts; chaque demeure était dotée de latrines connectées à l’égout. Ces constructions souterraines destinées à favoriser l'hygiène collectif expliquent pourquoi leurs bourgs et cités étaient construits le long des fleuves et rivières.
Les habitations s’érigeaient en fonds de terrain. Les trottoirs trottinaient sur les toits.
Toutes les constructions étaient faites de briques, incluant les murs extérieurs de la cité. Ces murs n’avaient pas pour objectif la défense de la communauté mais la préservation des lieux contre les crues des fleuves et rivières. Ces populations pratiquaient la non-violence, attitude qui s’est transmise chez certains Indiens jusqu’à nos jours. Certaines villes cependant s’étaient munies de fortifications, notamment sur les rives du golfe persique. En ces temps qu’étaient les leurs, les pirates existaient déjà!
Les rues étaient dirigées nord/sud et est/ouest. Détail qui a son importance.
La troisième photo illustre la piscine où les gens allaient se laver ainsi que l’étalement des résidences.
Au fond trône une sorte de bastion qui donnerait à penser qu’il s’agisse de la citadelle de la place fortifiée. Il n’en est rien. Il s’agit d’un centre d’exploration astronomique, comme l’illustre la quatrième photo. Nous avons la référence et les explications en début d’article. Quelques notes supplémentaires portant sur l’expertise de cette civilisation ès astronomie. On peut oublier les allusions — et illusions — aux indo-aryens. Ils sont trop postérieurs à cette civilisation, si n’eussent-ils jamais existé!
Pour déterminer la position du nord, on se fiait à la position de l’étoile Polaire. Parce que la direction du nord accusait quelques degrés de différence avec la position réelle de cette étoile, on a cependant longtemps pensé que leurs instruments de mesure n’étaient pas au point — ce qui peut se pardonner vu l’imperfection des instruments à une époque aussi reculée. Sauf que...
Un mathématicien d’une université USA, utilisant les puissants ordinateurs de son Institution, a refait les calculs en reculant dans le temps. C’est que la Terre tourne autour du soleil, bien sûr! Mais le système solaire tourne également autour de la galaxie, de telle sorte que la position de la Terre se modifie de siècle en siècle par rapport aux astres dans le firmament. Le chercheur a établi que les Meluhhans étaient tombés pile. Leurs calculs étaient exacts.
S’ajoutent de surcroît les études des chercheurs indiens cités en début d’articles [pages 4-5].
Bref, cette civilisation comptait nombre d’ingénieurs, de mathématiciens, d’astrophysiciens de fort calibre. À tel point que les racistes ont spéculé sur l’origine de cette civilisation, laquelle de toutes évidences ne pouvait qu’être blanche aux yeux bleus et cheveux blonds. Les fameux Aryens de Hitler. L’icelui peut bien se retourner dans son caveau: comme l’illustre la statuette de la deuxième photo, ces Aryens étaient noirs! Ces fameux nordiques auraient-ils existé que leur venue en la Vallée de l’Indus serait trop tardive pour expliquer le génie qui y circulait depuis des millénaires antérieurs. Notre point de vue ici en ces pages: ces histoires d’Aryens envahissant la Vallée de l’Indus et du Nord de l’Inde actuelle ne sont que des fabulations de racistes. Les couches “supérieures” de la société hindoue tiennent à l’existence de ces Aryens: l’icelle justifie l’existence des castes. Du “stuff” de racistes, que je vous dis!
La deuxième photo illustre à quel point ces gens maîtrisaient le génie urbain. Des millénaires avant les Romains, leurs bourgs et cités étaient dotés d’aqueducs et d’égouts. Les résidences étaient sises le long des égouts; chaque demeure était dotée de latrines connectées à l’égout. Ces constructions souterraines destinées à favoriser l'hygiène collectif expliquent pourquoi leurs bourgs et cités étaient construits le long des fleuves et rivières.
Les habitations s’érigeaient en fonds de terrain. Les trottoirs trottinaient sur les toits.
Toutes les constructions étaient faites de briques, incluant les murs extérieurs de la cité. Ces murs n’avaient pas pour objectif la défense de la communauté mais la préservation des lieux contre les crues des fleuves et rivières. Ces populations pratiquaient la non-violence, attitude qui s’est transmise chez certains Indiens jusqu’à nos jours. Certaines villes cependant s’étaient munies de fortifications, notamment sur les rives du golfe persique. En ces temps qu’étaient les leurs, les pirates existaient déjà!
Les rues étaient dirigées nord/sud et est/ouest. Détail qui a son importance.
La troisième photo illustre la piscine où les gens allaient se laver ainsi que l’étalement des résidences.
Au fond trône une sorte de bastion qui donnerait à penser qu’il s’agisse de la citadelle de la place fortifiée. Il n’en est rien. Il s’agit d’un centre d’exploration astronomique, comme l’illustre la quatrième photo. Nous avons la référence et les explications en début d’article. Quelques notes supplémentaires portant sur l’expertise de cette civilisation ès astronomie. On peut oublier les allusions — et illusions — aux indo-aryens. Ils sont trop postérieurs à cette civilisation, si n’eussent-ils jamais existé!
Pour déterminer la position du nord, on se fiait à la position de l’étoile Polaire. Parce que la direction du nord accusait quelques degrés de différence avec la position réelle de cette étoile, on a cependant longtemps pensé que leurs instruments de mesure n’étaient pas au point — ce qui peut se pardonner vu l’imperfection des instruments à une époque aussi reculée. Sauf que...
Un mathématicien d’une université USA, utilisant les puissants ordinateurs de son Institution, a refait les calculs en reculant dans le temps. C’est que la Terre tourne autour du soleil, bien sûr! Mais le système solaire tourne également autour de la galaxie, de telle sorte que la position de la Terre se modifie de siècle en siècle par rapport aux astres dans le firmament. Le chercheur a établi que les Meluhhans étaient tombés pile. Leurs calculs étaient exacts.
S’ajoutent de surcroît les études des chercheurs indiens cités en début d’articles [pages 4-5].
Bref, cette civilisation comptait nombre d’ingénieurs, de mathématiciens, d’astrophysiciens de fort calibre. À tel point que les racistes ont spéculé sur l’origine de cette civilisation, laquelle de toutes évidences ne pouvait qu’être blanche aux yeux bleus et cheveux blonds. Les fameux Aryens de Hitler. L’icelui peut bien se retourner dans son caveau: comme l’illustre la statuette de la deuxième photo, ces Aryens étaient noirs! Ces fameux nordiques auraient-ils existé que leur venue en la Vallée de l’Indus serait trop tardive pour expliquer le génie qui y circulait depuis des millénaires antérieurs. Notre point de vue ici en ces pages: ces histoires d’Aryens envahissant la Vallée de l’Indus et du Nord de l’Inde actuelle ne sont que des fabulations de racistes. Les couches “supérieures” de la société hindoue tiennent à l’existence de ces Aryens: l’icelle justifie l’existence des castes. Du “stuff” de racistes, que je vous dis!
L’acquisition et le développement de ces sciences liées à la physique ne pouvaient pas ne pas déboucher sur la métaphysique.
Ce que révèle la plaquette ci-contre.
À gauche, le svastika symbolise la perpétuité des astres autour d'un pôle, peut-être l'étoile du Nord. Symbole de la perpétuité du mouvement.
À droite, le hiéroglyphe illustre un nœud infini pouvant signifier l'infinité de l'univers. Symbole de l'infinitude de l'espace/temps.
Nous avons donc là deux principes fondamentaux de la métaphysique: la perpétuité du mouvement et l’infinité de l’univers.
Les scientifiques proposant l’idée que l’univers serait fini confondent «Univers» et «Cosmos». Tout cosmos, par essence, est une entité finie. Mais pas l’univers.
Ce que révèle la plaquette ci-contre.
À gauche, le svastika symbolise la perpétuité des astres autour d'un pôle, peut-être l'étoile du Nord. Symbole de la perpétuité du mouvement.
À droite, le hiéroglyphe illustre un nœud infini pouvant signifier l'infinité de l'univers. Symbole de l'infinitude de l'espace/temps.
Nous avons donc là deux principes fondamentaux de la métaphysique: la perpétuité du mouvement et l’infinité de l’univers.
Les scientifiques proposant l’idée que l’univers serait fini confondent «Univers» et «Cosmos». Tout cosmos, par essence, est une entité finie. Mais pas l’univers.
La symbolique de l’AndroTerrier...
Ce photomontage illustre l’auteur de ce journel. Il s’agit d’un montage graphique réalisé par un certain «PCRed» dont le site planétoilaire a disparu.
La tête représente «l’Andros» [mot grec signifiant “humanoïde mâle”] qu’est l’auteur de cette page dont la Terre constitue l’habitat [terrier]. Cet androïde réfléchit sur ce qui se passe sur cette planète et bien au-delà.
La tête représente «l’Andros» [mot grec signifiant “humanoïde mâle”] qu’est l’auteur de cette page dont la Terre constitue l’habitat [terrier]. Cet androïde réfléchit sur ce qui se passe sur cette planète et bien au-delà.
La symbolique de la métaphysique.
Ce photomontage de PCRed fut probablement réalisé à partir d’une photo de Saturne. On y perçoit un globe central, des anneaux ainsi qu’un rayonnement sidéral. Nous utilisons ici ce photomontage pour illustrer la nature de la métaphysique d’inspiration scientifique.
Le globe central symbolise la Physique en tant que foyer de recherches et d’explications ayant trait à l’«Ordre régissant l’univers» [définition de la Physique en tant que science]. La Physique constitue le foyer central de toute connaissance scientifique.
Les études empiriques ne sont que ce qu’elles sont: des études sans valeurs de certitude. Elles ne font que dans le «plausible», en attendant la preuve du contraire qui... surgit presque toujours! Elles s’affichent comme scientifiques, commettant ainsi un abus de langage et propageant une image fallacieuse de leur réalité. Toutes connaissances qui ne peuvent se traduire en équations mathématiques ne peuvent se prétendre «scientifiques». Elles ne sont qu’«empiriques».
Le globe central symbolise la Physique en tant que foyer de recherches et d’explications ayant trait à l’«Ordre régissant l’univers» [définition de la Physique en tant que science]. La Physique constitue le foyer central de toute connaissance scientifique.
Les études empiriques ne sont que ce qu’elles sont: des études sans valeurs de certitude. Elles ne font que dans le «plausible», en attendant la preuve du contraire qui... surgit presque toujours! Elles s’affichent comme scientifiques, commettant ainsi un abus de langage et propageant une image fallacieuse de leur réalité. Toutes connaissances qui ne peuvent se traduire en équations mathématiques ne peuvent se prétendre «scientifiques». Elles ne sont qu’«empiriques».
La métaphysique plonge au cœur de la physique pour en extirper les principes fondamentaux. Elle gravite donc autour de la Physique comme les anneaux de Saturne. Elle évolue au rythme de l’évolution des certitudes validées de la Physique. La métaphysique ne peut s’affubler du titre de «science». Elle ne peut également élaborer de doctrines prétendument pérennes — il ne s’agit plus alors de métaphysique mais plutôt d’idéologies.
Dans le prolongement de la physique, la métaphysique permet un éclairage et une compréhension à la fois en profondeur et extensive de l'Univers. Elle s’affiche donc comme une grille d’analyse, grille évoluant au rythme de l’évolution des connaissances scientifiques.
Le foyer de la métaphysique demeure la Physique. Ce qui n’a rien à voir avec les différentes croyances et crédulités ésotériques, exotériques, telles certaines prétendues “philosophies” religieuses et autres.
Dans le prolongement de la physique, la métaphysique permet un éclairage et une compréhension à la fois en profondeur et extensive de l'Univers. Elle s’affiche donc comme une grille d’analyse, grille évoluant au rythme de l’évolution des connaissances scientifiques.
Le foyer de la métaphysique demeure la Physique. Ce qui n’a rien à voir avec les différentes croyances et crédulités ésotériques, exotériques, telles certaines prétendues “philosophies” religieuses et autres.
La symbolique de la Physique.
L’objet de la métaphysique porte sur l’étude et la connaissance de l’Univers.
Ce journel-ci postule que l’Univers est infini.
Il est cependant composé de Cosmos, lesquels doivent se comprendre comme des entités régies par des structures organisationnelles. Toute organisation est cosmomorphique au regard de ses structures; cosmologique au regard de ses systèmes [processus et fonctionnements].
Les cosmos se subdivisent en macrocosmes [échelle galactique], en microcosmes [échelle subatomique] et mezzocosmos à notre échelle.
Le photomontage présente une illustration du Big-bang. L’icelui s’est-il avéré le commencement de l’univers dans sa globalité ou la réanimation d'un Cosmos régénéré?
Nous n'étions pas là pour observer le phénomène. Nous optons cependant pour cette seconde hypothèse. Cette option qui est la nôtre ne relève toutefois en rien de la métaphysique; on doit plutôt la classer comme idéologique... pour l’instant encore! Car voyons-nous, la métaphysique fait dans le savoir et non dans le croire. Et pour l’instant, nous ne savons pas.
Ce journel-ci postule que l’Univers est infini.
Il est cependant composé de Cosmos, lesquels doivent se comprendre comme des entités régies par des structures organisationnelles. Toute organisation est cosmomorphique au regard de ses structures; cosmologique au regard de ses systèmes [processus et fonctionnements].
Les cosmos se subdivisent en macrocosmes [échelle galactique], en microcosmes [échelle subatomique] et mezzocosmos à notre échelle.
Le photomontage présente une illustration du Big-bang. L’icelui s’est-il avéré le commencement de l’univers dans sa globalité ou la réanimation d'un Cosmos régénéré?
Nous n'étions pas là pour observer le phénomène. Nous optons cependant pour cette seconde hypothèse. Cette option qui est la nôtre ne relève toutefois en rien de la métaphysique; on doit plutôt la classer comme idéologique... pour l’instant encore! Car voyons-nous, la métaphysique fait dans le savoir et non dans le croire. Et pour l’instant, nous ne savons pas.
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Je vidange:
1) les libelles diffamatoires;
2) les attaques personnelles gratuites et/ou sans rapports avec le propos;
4) le racisme sous toutes ses formes
5) ainsi que les textes incompréhensibles parce que trop mal rédigés.
6)En passant,j'ai activé le correcteur de texte. J'apprécierais que l'on s'en serve...