50 .0 L’AndroGuerrier; Présentation: Un répertoire martial.

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~ 0 ~

Prolégomènes

0.1 Préface

«L’Androguerrier» constitue un répertoire de ce journel numéroté (50).
Comme «L’Androcritique» (30) et «Les lucifériques Royaumes de la perversité» (70), il se définit comme un répertoire voué aux débats.
Contrairement à «L’Androcritique» dont les débats s’en tiennent aux idées, «L’Androguerrier» se permet de s’en prendre aux personnes. Les motifs se doivent cependant de s’avérer rationnels et légitimes.
«Les lucifériques Royaumes de la perversité» peuvent être considérés comme une spécialisation du présent répertoire, s’attaquant particulièrement aux perfides narcissiques.

0.2 Préalables

0.21 0 Présentation générale; 0.1 Le présent journel.
0.22 0 Présentation générale; 0.2 Symbolique du montage graphique.
0.23 14 Ontophysique: L’intentionnalité universelle.

0.3 Prérequis

0.31 Code criminel canadien: libelles diffamatoires.
0.32 Le Code de procédure civile et la fin des poursuites-bâillons.
0.33 Poursuite-bâillon: Eddy Savoie.

0.4 Terminologie

Adolescent(e), adultolescent(e) etc.
Le petit terminaire;
Baroud, barouder, baroudage etc.
Le Petit Terminaire;
Contingence, contingencité etc.
Le Petit Terminaire; Le Grand Notionnaire;
Déontique, déontisme.
Le Petit Terminaire;
Journel, journeliste, journelisme etc.
Le Petit Terminaire;
Planétoile, planétoilaire.

Le Petit Terminaire;
Prolégomènes; Préface; Introduction; Préalables; Prérequis; Terminologie.
Le Petit Terminaire;
Puissard(e), puissardise, etc.
Le Petit Terminaire.

0.5 Introduction

Il existe une telle chose dans notre humanité que l’imposition de pensées dominantes. On n’assassine plus les non-conformistes comme jadis, sauf en certaines régions de la planète. En ces cas, les motifs religieux ont la cote. Par contre, on trucide les fautifs autrement, par exemple médiatiquement. Détruire les réputations s’avère l’une des armes privilégiées.
C’est le néo-impérialisme idéologique!
Je ne suis ni de près, ni de loin, ni de quelque façon que ce soit un marxiste. Si on me taxe de marxiste, il faudra alors qualifier ainsi l’encyclique «Rerum novarum» du pape Léon XIII.
On ne peut également me taxer de libertaire. Les libertariens sont fondamentalement de culture narcissique, nombrilistique. Cette gent faire carrément fi des droits humains.

C’est exactement le mandat que se donne le présent répertoire : combattre individus et groupes d’individus fauteurs de crimes contre l’humanité. Combattre également tout individu ou groupe d’individus s’attaquant aux droits fondamentaux naturels dont tout humain a le droit de jouir.
Or le mépris des droits humains fondamentaux a cancérisé nos sociétés contemporaines.

Question: comment peut-on combattre les pensées dominantes socialement cancérigènes qui s’imposent tant sur le plan moral que religieux, économique, politique, militaire, philosophique et autres?  Notre réponse en ce répertoire: à la manière des cyniques, manière décidément pamphlétaire et satyrique. Et l’auteur de ces lignes s’assume entièrement.

0.6 Division

I- L’Androguerrier: son contexte
II- Les cibles favorites
III- À l’attaque
IV- Format rédactionnel

~ I ~

L’AndroGuerrier:

son contexte.

1.0 Approche structosystémique

Principe de métaphysique structosystémique:

«Rien n’a de sens en dehors d’un contexte.»

L’approche métaphysique que nous qualifions ici de structosystémique désigne une grille d’analyse qui postule que tout objet, toute entité se compare à un mur doté nécessairement de deux pans: un pan structurel; un pan systémique.
Examinons donc le contexte du présent répertoire.

1.1 La thèse du présent répertoire

1.11 Un répertoire cynique

Ce répertoire se permet le cynisme.
Le cynisme, selon la vraie signification du terme, se veut précisément pamphlétaire et parfois satyrique. Pour nous mettre dans l’ambiance, ouvrons cette présentation par une chanson qui se veut une fable, mais qu’une jeune interprète australienne, 11 ans à l’époque [2013], convertit en satire à l’encontre d’un juge de Australia’s got talent...

«Sometimes you have to be a little bit naughty»! 

La grimace cinglante de Chloe [Vidéo: 02m23 @ 02m29] au juge Kyle illustre fort bien l’esprit du présent répertoire: un esprit cinglant!
Naughty, ce répertoire le sera, surtout lorsqu’il s’attaquera aux idéologies dominantes et perverses suivantes.

1.12 Les impérialismes psychosociaux

Nous vivons dans une société planétaire où, de plus en plus, le monde se fout du monde. Derrière les beaux sourires et les “merci beaucoup/thank you” se cachent de grandes vertus contemporaines telles l’hypocrisie, le mensonge, le “je-m’en-foutisme”, les libelles diffamatoires injustifiés, le mépris.
Parmi les valeurs contemporaines privilégiées, notons: l’acceptation de la médiocrité; le trouble infantile de l’opposition; le nivellement par le bas; la valorisation du «Tout pour moi –  que les autres s’arrangent»; l’infantilisation des adultolescents; le positivisme jovialiste; le tribalisme érigé en nationalisme identitaire et ainsi de suite. La suite est longue.

1.13 Les impérialismes pseudoreligieux

Les religions s’avèrent abusivement protégées sur cette planète, exception faite peut-être de la Chine. On enfonce dans la gorge des planétariens des diktats qui n’ont comme fondements que des mythes, des croyances indémontrables, des morales contre nature.
Honnêtement, reconnaissons ce fait: la presque totalité des guerres en cours se légitiment par des motifs religieux, auxquels se greffent des haines ethniques. Pourtant, toutes les religions disent prôner la paix!
À ces déviations se joignent les lubies ésotériques qui n’ont comme simple justification que la «science ne peut tout expliquer». Ce grand principe érigé en décret canonique, toutes les fabulations se légitiment à l’aide d’assertions improuvables, sous seul prétexte que le spirituel est inaccessible aux sens et à la raison. 
C’est «intérieur». C’est la spiritualité!
Notons que la vision d’éléphants roses est également «intérieure»...

1.14 Les impérialismes politiques

En démocratie, nous élisons, semble-t-il, des dirigeant(e)s redevables auprès de leurs commettant(e)s. Trop souvent n’avons-nous le choix que d’élire des dictateur(e)s. Les élu(e)s sont trop souvent élu(e)s pour gouverner, comprendre poursuivre et réaliser leurs intérêts propres et ceux de leurs financeur(e)s. La corruption règne presque partout. «Money talks», disent les corrupteur(e)s. 
En certains pays, on jette les maffieux, les crapules économiques, sociales et autres en prison. En d’autres lieux, ces gens gouvernent et ne tolèrent aucune opposition.
«Diplomatie» est un euphémisme pour menterie, hypocrisie, perfidie. 
Des organismes étatiques nécessairement cachottiers s’avèrent d’authentiques terroristes d’État se permettant toues les bassesses criminalisables incluant la torture.

Les États les plus puissants s’attribuent un rôle de gendarmes planétaires alors que des puissances moyennes s’autorisent une influence contraignante sur leurs anciennes colonies.
Les politicien(ne)s sont devenu(e)s les vassaux de leurs suzerains financiers et entrepreneuriaux. On baisse les taxes en faisant valoir l’intérêt des citoyen(ne)s mais au fond, les profits des entreprises sont effectivement visés. Les citoyen(ne)s boivent goulûment ces menteries.  Les subventions aux entreprises sont vues comme fauteurs de créations d’emplois. De fait, aboutissent trop souvent dans les dividendes versés aux actionnaires.
Les baisses d’impôt, ce sont également les outils d’étranglement des capacités de l’État à fournir des services aux citoyens. Services qu’il faut nécessairement couper pour ne pas déplaire aux imams de Wall Street.

1.15 Les impérialismes économiques

Les études et doctrines économiques, lesquelles ont le culot de s’afficher comme scientifiques  — ce qu’elles ne sont pas! —  prennent de nos jours l’allure de religions quasi ésotériques. Il faut penser économique, ce qui veut dire penser avantages démesurés en faveur des méga-entreprises. Plus localement, avantages démesurés en faveur des gens dits d’affaires.

La mondialisation, érigée en dogme économique incontournable et indiscutable, a détruit le tissus industriel de nombreux pays et favorisé l’esclavage économique de nombreux autres pays. Autrefois, l’occident très chrétien réduisait les peuples africains en esclavage pour répondre aux besoins économiques de l’époque; aujourd’hui l’occident un peu moins chrétien en certains lieux et intégristement chrétien en d’autres lieux ne ressentent aucune gêne morale à faire travailler les Asiates pour des pinottes. 
Nous vivons les années glorieuses de l’impérialisme financier et industriel. 

1.16 La pensée simiesquement dominante

Le hic débilitant, ces absurdités sont érigées au statut de bienpensance, de biendisance, de bienfaisance, de bienparlance, de bienpolitisance, de bienreligieusance, de bienphilosophiance et autres bien-toutes-sortes-d’agissance.
Le hoc crétinisant, nous habitons une planète simiesque d’où la rationalité se voit de plus en plus exclue et le singeage irrationnel s’avère de plus en plus contraignant:

«Tout le monde le dit  — dis-le donc»;

«Tout le monde le fait, — fais-le donc»;

«Personne ne dit cela: qu’est-ce que tu dis là?»

«Personne ne fait cela: qu’est-ce que tu fais là?»

L’argument débilité par excellence: « – Il est tout seul, elle est toute seule à avoir le pas!»
C’est la dictature de la pensée dominante laquelle s’avère à peu près toujours simiesque.
Nous subissons dans certains cas, nous partageons dans la plupart des cas cette sous-culture de l’impérialisme intellectuel irrationnel. Parce que voyons-nous, le rationnel ne peut tout expliquer...

1.17 La thèse de ce répertoire

Cette pensée dominante, traduite en comportements dominants, peut s’avérer outrancière, voire outrageante. En tous les cas elle porte atteinte à la pensée rationnelle, inhibe de potentiels comportements rationnels d’une part.
D’autre part, sous couvert de bienpensance, de biendisance, de bienfaisance, de bienparlance, de bienpolitisance, de bienreligieusance bienphilosophiance et autres bien-toutes-sortes-d’agissance, on porte outrageusement atteinte à l’intégrité physique de la personne, dans l’une ou plusieurs de ses dimensions. Parmi ces dimensions, notons la pauvreté, l’esclavage économique, les atteintes aux droits de la personne, l’enrichissement illégitime  – voire criminel etc.
Ce répertoire entend dénoncer ces hypocrisies, ces crapuleries intellectuelles, ces violences physiques et communicationnelles constituant des outrages à la personne et/ou à des collectivités.

Ce répertoire dénonce également le charriage qualifié ici d’outrancier.
À l’encontre de tels agissements, il n’existe guère d’outils plus puissants qu’une violence argumentaire bien ciblée, empruntant la forme du pamphlet et de la satire.
C’est alors la guerre. Une guerre verbalement planétoilaire.
Que verbale.
Que sur la Toile.

1.2 Contexte libelliste, voire diffamatoire.

De fait, les articles propres à ce répertoire vont incarner la définition de ce que se veut un libelle: un petit écrit satyrique, souvent mordant, voire violent. Par conséquent potentiellement diffamatoire.

1.21 Diffamation: définition.

Au sens classique du terme, diffamer consiste à discréditer la renommée de personnes, de groupes, d’organisations.
Aucun rapport automatique avec la calomnie, le mensonge, la médisance gratuite et l’instinct de vengeance.
Tout à voir avec la remise des pendules à l’heure.
Par contre, une diffamation malveillante peut emprunter les voies de la calomnie, du mensonge, de la médisance gratuite et de l’instinct de vengeance. Telles attitudes ne seront pas tolérées dans ce répertoire.

1.22 Paramètres.

Il existe deux sortes de diffamations.
-) L’une porte sur le genre de personnes, de groupes, d’organisations ciblés par l’attaque.
-) L’autre porte sur le comportement des iceux.

Dans le présent répertoire, la diffamation porte ici sur les comportements de personnes.
Ainsi, des personnes ou des groupes peuvent s’afficher comme hétérosexuels, homosexuels, mahométans, chrétiens, taoïstes, chinois, caucasiens, latino-américains, africains, villageois, campagnards,  blancs, noirs, verts, violets ou mêlés, c’est le dernier de nos soucis.
Une organisation peut être privée, publique ou d’État, opérant dans la finance, les médias, la production de biens ou services incluant les services sexuels [offerts par des adultes à des adultes]  — ou dans tout autres domaines, c’est sans intérêts.

Si par contre ces personnes, ces groupes, ces organisations ou les idéologies qui les animent portent atteinte à l’intégrité physique d’un individu ou d’une collectivité, ils constituent alors nos cibles privilégiées.
Si ces personnes, ces groupes, ces organisations ou les idéologies qui les animent charrient au point de prendre les humanoïdes pour des imbéciles, ils constituent également des cibles privilégiées.

Les textes publiés doivent s’appuyer sur du solide. Les analyses s’avérer pointilleuses.  Paramètres incontournables pour justifier et fonder les attaques qui s’en suivent.

1.23 Contexte objectif.

Une personne ou des personnes visées par un article peuvent s’avérer de charmants personnages dans la vie privée. Sauf que la vie privée ici ne saurait nous intéresser. Rien ne pourrait justifier que l’on s’y fourre le nez.
Inversement, il va arriver que le contenu d’un article prenne agressivement le parti de personnes qui s’avèrent  des phénomènes rares injustement traités. Il n’est pas dit que dans la vie privée, nous formerions des copains compatibles...

1.3 Outre, outrage... outrance...

L’outrage ou l’outrance vont légitimer le présent répertoire.
Qu’est-ce qu’un outrage...
Qu’est-ce qu’une outrance?

1.31 Outre.

«Outre» vient du latin «Ultrã» et «Ultrõ». Signifie «en plus de; au delà de; de l’autre côté de; au-dessus de...»
Bref, si on s’imagine que toutes choses ont une limite, une clôture, une frontière, «outre» nous entraîne de l’autre bord des icelles.Suggère l’idée d’un dépassement, d’une transgression, d’une traversée. 
Un au-delà d’une mesure normale ou acceptable.

L’idée appliquée aux comportements humains suggère donc l’idée d’un comportement qui va au-delà du normal ou de l’acceptable.
Une telle exagération chatouille-t-elle le Reptilien qu’il s’agit alors d’un outrage.
Une telle exagération chatouille-t-elle l’Intellect qu’il s’agit alors d’une outrance. 

1.32 Outrage.

A) Il existe une perception subjective de l’outrage.
Un tel outrage va chatouiller l’agressivité du Reptilien, genre colère, hargne, irritabilité, emportements, fureurs, violence, susceptibilité, rage, courroux, énervements, injures, exaspérations, fureurs, furies, crispations, énervements... Voyez le genre de réactions éminemment sociales...
Bref, l’outrage est le père de toutes les injures, insultes, et atteintes à l’honneur dans un contexte où l’honneur n’est rien d’autre que l’image sublimée de son soi-même.

B) Il existe non moins une perception objective de l’outrage. On se cause alors d’acceptions métaphoriques du terme. C’est la signifiance qui sera la nôtre en ce répertoire.
Un tel outrage désigne un tort, un dommage causé à...
Globalement, ce tort et/ou dommage affecte l’intégrité physique d’une personne ou d’une collectivité.
Le paragraphe «1.42» définit la notion d’intégrité physique.
Le verbe se dit «outrager».

1.33 Outrance.

L’outrance a d’avantage rapport avec le bon sens. On se cause d’une tendance à charrier un peu trop fort l’intellect rationnel des humanoïdes.
La différence entre l’exagération et l’outrance réside dans le fait que l’outrance vise à gagner sur autrui. Elle est un exercice de puissardise.

Combattre à outrance, chez les chevaliers, consistait à confronter l’adversaire avec âpreté, sans répit, jusqu’à gagner la partie. L’outrance consiste donc, métaphoriquement, à vouloir imposer sa vision, son interprétation, son opinion, ses certitudes, ses manières de faire exagérées, illogiques, pas d’allures jusqu’à ce que la ou les victimes abdiquent. Ou sans que la ou les victimes ne puissent réagir.
Voilà qui s’appelle «se faire charrier».

L’outrance constitue une atteinte à l’intelligence humaine, un aspect de l’intégrité physique de la personne.
Le verbe se dit «outrer».

1.4 Rapport avec la métaphysique

La métaphysique s’avère moins une science qu’une grille d’analyse puisant ses sources dans la physique et prolongeant les données de la physique dans une réflexion qui tend à comprendre et expliquer l’Univers dans toutes ses dimensions, incluant l’univers humain.

Elle se veut une grille d’analyse en deux temps: un temps «réflexif» et un temps «applicatif».
Il est évident que nous sommes ici en mode “application”. L’exercice consiste à appliquer des concepts à l’analyse de situations afin de jauger les comportements, les faits impliqués par l’objet de l’analyse.

1.41 Principe de physique.

La physique nous révèle que toute entité tend à la préservation, la défense, le développement et l’épanouissement de son intégrité physique. Jusqu’à «pus capable»! En métaphysique, cette finalité a nom de «téléonomie». Il y a donc la finalité téléonomique, et la tendance à réaliser cette finalité.
Un ensemble de lois physiques régit cette tendance à la durée, à la survie, au mieux-être, à l’adaptation à son environnement, tendance que l’on appelle “intentionnalité”.

1.42 L’intégrité physique.

L’intégrité physique des humanoïdes ne concerne pas que le corps. L’humain n’est pas une monade, un être constituant un tout absolu. L’être humain est relation. L’être humain est complémentarité de/avec.

L’humain se présente comme un composé de parties structurantes, de matière et d’énergie.
Il se présente non moins comme élément composant divers ensembles: il s’avère une composante de l’Univers, de notre galaxie, de notre système solaire, de la Terre, d’une société, d’un groupe social particulier.
L’humain est essentiellement “relation” et “complémentarité”.

L’intégrité physique touche à tout ce qui compose l’individu et à tout ce à quoi il participe.
L’intégrité physique englobe l’intégrité somatique, psychique, psychosomatique, psychosocial, socio-économique, sociomédiatique, sociopolitique, sociogéographique, socioplanétaire.

La préservation, la défense, le développement et l’épanouissement de l’intégrité physique s’applique à ce qui constitue NÉCESSAIREMENT cette entité qu’est l’humain. Affecter gravement les caractères somatiques de l’humain conduit à sa désintégration que l’on appelle “mort”. Affecter gravement les caractères psychiques ou sociaux de l’individu entraîne d’autres formes de désintégration psychosomatique de la personne.

1.43 Intentionnalité physique.

Par Physique [la Phusis en grec], nous entendons ici l’ordre qui régit l’univers.
Par intentionnalité [du latin in-tendere: tendre intérieurement = tendance inscrite dans la nature d’un objet], nous entendons les tendances inscrites dans la nature de l’Univers en général, et des diverses entités qui la composent.
Or ces tendances constituent des contraintes s’exerçant dans un contexte universel ou des contextes particuliers.

Il existe deux types de contraintes contextuelles: celles liées à la nécessité; celles liées au hasard.
-) Le principe d’intégrité physique de l’Univers et des entités qui le composent est lié à la nécessité. Donc aux facteurs déterminants.
-) Les interventions de conditions aléatoires ou épifacteurs viennent intensifier, neutraliser, éliminer ou maintenir le statu quo des facteurs déterminants préexistants. Nous donnons à ces interventions aléatoires le nom de hasard.

Notons en passant que les bienreligieusants opineront que le hasard n’existe pas: tout dépend de la volonté divine. Commençons par convenir que l’action du divin, si elle existe, ne s’exerce pas de manière automatique, prédéterminée. Le divin peut guérir ou pas, faire gagner une équipe ou pas, maintenir la paix ou pas... C’est ce que l’on appelle le bon vouloir divin, un exercice éminemment fortuit... s’il existe. L’action divine serait alors aléatoire, donc conditionnelle au bon vouloir divin. Telle action aléatoire fait donc partie des conditions qui font le hasard. L’action du divin s’avère donc non pas hasardeuse mais, disons-nous, hasardique.
On niera également l’existence du hasard en préconisant que tout n’est que déterminismes, nécessité. Dans ce cas, la météo serait toujours égale à elle-même puisque les variations atmosphériques sont la conséquence de conditions changeantes, d’abord imprévisibles, puis perceptibles, toujours aléatoires.  Donc hasardiques.

Bref, cette négation du hasard n’a aucun fondement ni aucune prise sur le réel, du moins quand on a une acception pertinente et appropriée du hasard. Ce n’est pas parce que l’on nie une chose qu’elle n’existe pas.
Ainsi, que l’Univers et ses composantes soient régies par le hasard et la nécessité, assises de l’intentionnalité des êtres, s’impose comme un principe métaphysique fondamental.

Appliquons.

1.44 Le jeu de la nécessité et du hasard

Les contextes socio-ethniques et socioreligieux sont liés à des conditions aléatoires, donc au hasard. Parce que l’histoire de l’humanité est ce qu’elle fut, les ethnies sont devenues ce qu’elles sont, les religions et croyances se sont éparpillées ici et là, les cultures ont connu une forte diversification.

L’appartenance à une ethnie relève de la nécessité. L’ethnie est attribuée par la génétique et se soustrait à toute volonté individuelle. Un(e) anthropoïde ne peut se «désethniciser» parce qu’il n’est possible de se débarrasser de ses gênes qu’à sa mort. Mais là, l’entité concernée n’existe plus. C’est le pan “nécessité” de nos êtres-tels.

À la naissance, l’humain ne choisit pas sa nationalité. Elle lui est accordée. 
Par contre, un individu peut changer de nationalité si les circonstances le permettent ou l’imposent. Car contrairement à l’ethnie qui est une nécessité intrinsèque, la nationalité est une contingence extrinsèque. Donc hasardique. Voilà pourquoi changer de nationalité n’entraîne pas une désintégration de la personne. Les mécanismes d’adaptation au contexte nouveau vont faire en sorte que l’individu va “faire avec”. Parfois aisément, parfois difficilement, parfois cependant pas du tout.

Pour compléter le tableau, ajoutons que la survie de l’espèce et des individus constituent une contrainte nécessaire dont les modes opérationnels seront conditionnés par les cultures contextuelles. Or il existe des conditions favorables à la survie de l’espèce et des individus et des conditions défavorables. Quelles conditions vont-elles jouer? Cela dépend des contextes et de leurs évolutions. Donc du hasard.

Hasard et nécessité sont les deux mamelles de l’intentionnalité universelle.

1.45 Fondements comportementaux

Le respect intégral de l’intégrité physique des humains constitue le principe fondamental et fondateur de toute déontologie, de toute éthique et de toute morale. N’importe quelle déontologie, éthique ou morale qui ne se fondent sur l’intégrité physique comme principe fondateur de ses normes s’avère contre nature.
Ce journel promeut sa propre définition des termes “déontologie”, “éthique”, “morale” afin de contrecarrer des notions tarées par des idéologies aux antipodes les unes des autres. Formé sur le modèle de «métaphysique», nous utilisons le terme «déontophysique», assises métaphysique de toutes déontologies et éthiques. Quant à  la morale, fondée sur des moeurs culturelles et/ou religieuses, par conséquent sur des préjugés, nous nous tenons loin de ces dérives idéologiques.

Pour les théistes qui croient que la nature [l’Univers et les lois qui le régissent]  se définit comme créature générée par un divin quelconque, donc produit d’un vouloir divin, il serait plutôt contradictoire que ce divin préconise des entorses aux règles régissant la nature, donc à sa propre volonté. Il existe une telle chose qu’un principe de contradiction. Cela en serait un. Une religion fondée sur une théologie crédible ne peut préconiser quelque forme d’atteintes à l’intégrité des personnes d’abord, de la nature dans son ensemble. La jeune activiste Greta Thunberg est dans le vrai sur toute la ligne.

On pourra arguer que la mort, voulue par le divin puisqu’elle existe, constitue l’atteinte finale à l’intégrité physique des personnes. Bien oui! Sauf que la mort des individus s’avère le moyen naturel d’assurer la survie de l’espèce par sa régénération. L’indication que selon l’ordre régissant la nature, l’espèce a priorité sur l’individu... [Il y en a qui ne l’aimeront pas, celle-là!] Cet état de fait ne justifie pas les humains de s’entretuer pour régénérer l’espèce!

1.46 Outrages à entités humaines.

Le non-respect de l’intégrité physique des personnes et des communautés humaines constitue un «outrage à entité humaine».
Toute prétention par quelque idéologie que ce soit qui rejette ce principe du droit fondamental au respect optimal de l’intégrité physique des personnes, ce tout en prétendant s’imposer comme seule norme de conduite humaine valable et contraignante pour tous les humains de la planète, constitue une «outrance à entité humaine».
Dans les deux cas, ces comportements doivent être combattus sans complaisances.
Les comportements ainsi que leurs fauteur(e)s!
C’est précisément le mandat de ce répertoire de s’y consacrer. 
[Dans le répertoire «L’Androcritique», on ne s’en tient qu’aux comportements.]

1.5 Des gué-guerres métaphysiques: une lubie?

La métaphysique appliquée se doit notamment mais non exclusivement de s’élever contre tout ce qui porte ou peut porter atteinte à l’intégrité physique des personnes.
On se cause donc dans ce présent répertoire d’outrages à l’intégrité physique des personnes et d’outrances à la personne.

Des gué-guerres métaphysiques: une lubie?
Comme pas pantoute! Plutôt une déontique.
Des gué-guerres métaphysiques: un défi? Ça, oui!

~ II ~

Les cibles

Barouds favoris

2.1 Les cibles organisationnelles.

2.11 Les tribunaux outranciers.

Il est temps de cesser de se prosterner à quatre pattes dans des gestes d’adulation perpétuelle des tribunaux.  Les tribunaux doivent cesser de créer du Droit, surtout quand ce Droit est indésirable.
Les tribunaux doivent cesser d’interpréter des lois, incluant les Chartes des droits humains, sans tenir compte des contextes.
-) Libérer des criminel(le)s notoires en invoquant des articles créés pour protéger les citoyens présumés honnêtes tant qu’un jugement ne soit émis relève de la plus pure irrationalité. Une justice de robots.
-) Condamner à mort des criminels s’avère déontiquement un acte en soi criminel. Pour les monothéistes, ce commandement suprême émanant, selon la croyance, directement du divin: «Tu ne tueras point!»

2.12 La politique outrancière.

Les politiciens manipulateurs, menteurs, crapuleux méritent qu’on leur démolisse la réputation.
Le gigantisme étatique qui siphonne les milliards de États dignes de ce nom a tendance à ne laisser que des miettes aux citoyens. Cet état de fait doit être dénoncé.
Les “étateux” préconisant le tout à l’État doivent cesser de monopoliser le crachoir médiatique.
Les "privativeux" néocapitalistes préconisant le tout au privé doivent cesser d'idéologiser les cervelles des étudiants des facultés économiques.
Les États fédéraux doivent cesser de se mêler des affaires des provinces et États fédérés et s’occuper de leurs missions et mandats propres.
Les provinces et États fédérés doivent cesser de se comporter en quêteux des États fédéraux et se gérer de manière autonome et réaliste. Ou disparaître.

2.13 Les pratiques commerciales outrancières.

Les tenants de la mondialisation, cela fera.
Les pratiques industrielles qui massacrent le territoire doivent cesser.
Il importe que les nations sauvegardent leurs autonomies agricoles;
Chaque nation a le droit de se doter d’une économie manufacturière viable, quitte à rejeter la mondialisation et les ententes internationales qui s’y opposent sous prétexte de protectionnisme.

2.14 Les organismes idéologiques outranciers.

Les “conscientiseux”, les “faiseux de morale”, les “reborns” de toutes espèces, vivez vos affaires et laissez-vivre.
Ce répertoire va vous aider à vous y inciter.

2.2 Les cibles personnelles.

2.21 Les super dominants hyper outranciers.

Les têtes enflées à l’hélium, quelles cibles!...
Il existe de ces sortes de gens qui, parce qu’ils font montre d’une mine patibulaire et haussent le ton lorsqu’ils argumentent, génèrent une crainte chez les interlocuteurs ou lecteurs. Ils donnent une impression de dominance naturelle. 
Ce qu’il importe de faire: démolir leurs arguments et propos; ignorer leurs allures et attitudes.

2.22 Les super idéologisants hyper outranciers.

Les fabulateurs pop-toutes-sortes-d’affaires, fauteurs de rectitudes sociales et de croyances chimériques improuvables. Religions et théories ésotériques s’avèrent les champions de ces sortes de choses.
Les gens peuvent bien croire que le paradis est sur Sirius, comme le proclamait l’ordre du temple solaire, sauf que Sirius est une boule de feu... Bel exemple de fallacité ésotérique.

On pourra toujours arguer que Hubert Reeves, grand astrophysicien devant la planète, soutient et enseigne que la science ne peut tout révéler et que la croyance religieuse se trouve validée par son caractère d’intériorité non nécessairement rationnel. C’est gentil mais pas très objectif. Il omet de dire deux choses   — sauf quand on le questionne à ces sujets:
a) il ne cache pas une certaine prédilection pour le bouddhisme;
b) il n’adhère ni aux cosmologies théistes ni aux diverses théories ésotériques. 
c) qu'il s'est opposé à Stephen Hawking, lequel prétendait que Dieu n'existe pas. "Guéguerre" d'astrophysiciens... Lequel est le plus crédible?
Alors...

2.23 Les super crapules hyper outrancières.

Cette gent-là est dangereuse. On y retrouve toutes les formes et catégories de maffieux, de bandits motorisés, entrepreneuriaux, financiers, politiques et autres.  Raisons de plus de fesser dedans.

Notons pour enrichir l’érudition du lecteur que «fesser»

 n’a aucun rapport avec les fesses. 

Il est une déformation du verbe «verger» 

signifiant frapper à l’aide de verges.

Le pouvoir de cette gent crapuleuse repose sur la peur et la crainte qu’elle génère. La dénonciation rend manifeste leurs faiblesses et renverse l’effet de crainte. Ces gens-là craignent la médiatisation et le meilleur moyen d’enrayer leurs actions est de les médiatiser, les dénoncer, les combattre.

~ III ~

À l’attaque

3.1 Les balises.

Ce répertoire comporte ses dangers. D’où...

3.11 La dangerosité du genre.

Il existe une telle sorte de poursuites judiciaires qualifiées de «procès-baillons»
Oui les articles vont parfois [souvent?] s’attaquer à des personnes. Jamais dans des matières concernant la vie privée. Toujours en rapport avec des comportements affectant la collectivité ou d’autres individus. Ou des arguments s’attaquant à leurs crédibilités.

De nombreuses personnes s’offrent une assurance responsabilité liée à leurs fonctions. Or la réputation joue dans l’établissement de la tarification. Ce facteur explique les nombreuses poursuites de “prima donna” pour causes de diffamation et autres accusations du genre.

3.12 Faut-il craindre?

Faut-il craindre les poursuites potentielles?
Réponse à la normande: peut-être ben qu’oui; peut-être ben qu’non...
Si les faits cités sont validés, au Québec les procès-baillons coûtent très cher à leurs auteurs. Consulter la référence citée en 0.3.
Il faut non moins noter que les chartes canadienne et québécoise protègent avantageusement la liberté d’expression... Pas nécessairement la diffamation gratuite. Ce volet est couvert par le Code criminel.

3.2 Les sous-répertoires.

Barouds Arts de la scène;
Barouds Arts professionnels;
Barouds Arts représentatifs;
Barouds constitutionnels;
Barouds écologiques;
Barouds économiques;
Barouds judiciaires;
Barouds médiatiques;
Barouds Navigation;
Barouds Philosophiques;
Barouds politique canadienne;
Barouds politique internationale;
Barouds Politique québécoise;
Barouds pro/antimilitaire;
Barouds raciaux;
Barouds Religions;
Barouds sociaux Canada;
Barouds sociaux International;
Barouds sociaux québécois;
Barouds Sports.

~ IV ~

Rédaction

La démarche fait appel aux jugements de faits d’abord, aux jugements de valeurs ensuite.

~ I ~

Baroudages factuels

La première partie d’un article s’évertue à présenter les faits et à juger de leur authenticité, de leur pertinence si requis.
Des références seront proposées si requises.

~ II ~

Baroudages analytiques

La deuxième partie s’applique à démontrer le caractère outrageux ou outrancier des faits.

~ III ~

Propositions déontiques

Il n’existe de barouds en ce journel que dans la mesure où l’on peut entrevoir des solutions.
Nous croyons ici qu’il ne suffit pas de déclarer «il faut se poser des questions».
Ici, nous croyons qu’il importe de «proposer des solutions».
 

1) Les solutions proposées sont réalistes:
-) = intelligibles par des intelligences de calibre 100 et plus sur la courbe de Bell d’une part; 
-) réalisables et exécutables par des personnalités entreprenantes, dotées d’un réseau d’influences appropriées et de colonnes vertébrales cérébrals fermes, solides mais flexibles. La flexibilité pour les nécessités d’adaptation aux hasards; fermeté dans la poursuite des objectifs.
En bref, réaliste = comprenable et faisable.

2) Les propositions doivent s’avérer des réponses «déontophysiques», notamment:
a) répondre aux besoins essentiels liés à la survie des personnes et des organisations publiques et privées;
b) favoriser la préservation, la défense, la promotion et le développement ou épanouissement des personnes et des organisations publiques et privées.

Par contre, certaines causes perdues vont prendre l’allure de barouds d’honneur...

If you always take it on the chin and wear it
Nothing will change.

Sometimes 
you have to be a little bit 
naughty