Abonnement...

Le présent blogue est en chantier. La présente phase vise les objectifs suivants: 1) rédiger et publier la présentation générale du journel ainsi que la présentation des répertoires et sous-répertoires; 2) développer le lexique propre à ce journel; 3) réformer certains articles publiés depuis 2011; rédiger et publier les notions et concepts métaphysiques “urgents” requis à la compréhension des articles publiés ou à publier. Il ne faudrait donc pas s'étonner que des modifications soient régulièrement apportées aux libellés du site ainsi qu'à la structure et au contenu des articles.

2/23/2018

00 Lexiques; 2 Lexiques et dictionnaires: usages et abusages



~ 0 ~

Prolégomènes


0.1 Préface


L’usage actuel de la langue française subit les assauts des pratiques linguistiques de la planète angloïde. Or cette planète n’a que peu de respect pour les authentiques acceptions des vocables. Pour autant qu’un mot semble sexy, il est utilisé à tort et de travers. La planète francophone adopte ces travers sans trop se poser de questions. Tout le monde le dit, dis-le donc!

La métaphysique d’inspiration scientifique ne peut tolérer ces dérives linguistiques. D’où la pertinence des présents lexiques.


0.2 Couleurs

Important
A retenir
Définitions
Notes
Liens


0.3 Préalables

0.31 0 Présentation générale; 0.1 Le présent journel.
0.32 0 Présentation générale; 0.2 Symbolique du montage graphique.
0.33 00 Lexiques; Présentation générale.


0.4 Références 


A. Bailly, Abrégé du dictionnaire grec-français, Hachette, 2007.
F. Gaffiot, Dictionnaire latin-français, Hachette, 2008
J. Dubois, Le Lexus -le dictionnaire érudit de la langue française, Larousse, 2009.
Le grand dictionnaire terminologique du Québec [GDT].
M.-E. De Villers, Multidictionnaire de la langue française, Québec Amérique, 2009.
P. Robert, Le Petit Robert, Le Robert, 2011.
R. Mortier, Dictionnaire Quillet de la langue française, Aristide Quillet.



0.5 Terminologie 

Journel.
Le Petit Terminaire.
Néologisme.
Le Petit Terminaire
Néovocable.
Le Petit Terminaire
Planétoile.
Le Petit Terminaire.


0.6 Introduction


Le présent lexique n’a pas pour objet de changer le monde qui à cet égard est inchangeable. Il a comme mission de signifier et préciser l’usage qui est fait des termes, des notions et des concepts en ce journel. Ce journel parle pour lui-même. Le reste de la planète peut adopter la parlure de son choix.
Ce paramètre admis, les dictionnaires français demeurent importants afin que la planète francophone et francophile puisse communiquer et se comprendre.
Les radicaux des vocables français proviennent pour une bonne part des langues grecques et latines. L’usage de ces dictionnaires s’avère incontournable.
Les racines de la plupart des langues d’Asie occidentale et d’Europe s’origine d’un fond commun dénommé indo-européen. Il existe des glossaires traitant de ces racines... pratiquement introuvables.  

Dans un premier titre, nous faisons une tournée des usages et abusages des divers glossaires: dictionnaires, lexiques et autres.
Nous y abordons les questions liées à la sémantique, à la syntaxique, la logique grammaticale, les néologismes et autres questions pertinentes.

Dictionnaires et lexiques ont quand même leurs utilités. Un deuxième titre présente ceux qui se cachent derrière le présent glossaire. Ceux qui se cachent, parce que notre politique est de ne point alourdir les textes indûment par des références qui n’en finissent plus. Il revient à chaque lecteur de faire ses recherches, si le coeur le lui en dit. Une liste de dictionnaires et lexiques est fournie et commentée, le lecteur n’a qu’à s’y pointer les pupilles...




~ I ~

Lexiques & Dictionnaires:

Usages et abusages...




1.1 Un lexique: qu’est-ce? 


1.11 Définition sommaire


Un lexique désigne:
– ) L’ensemble des mots meublant une langue particulière.
– ) La liste des termes particuliers utilisés par un locuteur ou un scripteur.


1.12 Lexiques et dictionnaires: différences


Les lexiques reconnaissent les radicaux propres à une langue, radicaux valides et légitimes, auxquels s’annexent des affixes   — préfixes, infixes et/ou suffixes pour former les mots. 
Dans la mesure où:
– ) Un mot s’origine d’un radical appartenant à l’histoire de la langue française;
– ) Ce mot est bien formé,
ce vocable est légitime et valide.

Les dictionnaires appartiennent à une autre culture. Ils procèdent tous d’une intention. 
– ) Certains se font traducteurs. Intention louable... 
– ) D’autres se veulent pointus, offrant des définitions bien ciselées, éclairées par quelques exemples.
– ) D’autres se veulent “analogiques”. On circonscrit le contexte de la signification d’un mot en comparant avec des synonymes et autres analogues. 
– ) D’autres mettent l’accent sur la rectitude linguistique et grammaticale. 
– ) D’autres procèdent par image.
– ) D’autres procèdent autrement.


1.2: La vaticanisation de la langue.


1.21 Droit de vie et de mort sur les vocables... Vraiment?


Cela va sans dire: la variété des glossaires est là. Sauf que tous sont atteints d’une même tare: la censurite. Si “censurite” n’est pas dans vos dictionnaires, ajoutez-le: le mot est lexicologiquement bien construit.

Des dictionnairologues [autre mot bien construit] s’érigent en censeurs de la langue, s’attribuant le privilège, que dis-je, le droit souverain de décréter une sentence de vie ou de mort sur des vocables, droits qui ne leur appartiennent pas. D’authentiques talibans de la langue.


1.22 L’Académie françoise... avant de devenir française!


Le phénomène ne date pas de la dernière pluie. Il remonte à Richelieu et à la création de son Académie française, haut lieu de la pédanterie linguistique. Pédanterie, soit dit en passant, fait appel au même radical grec que pédophilie, pédérastie ou pédagogue [à savoir: pais = enfant]; on pourrait définir ce mot comme l’art de traiter le peuple comme des enfants. Comment? Linguistiquement, en réglementant  le vocabulaire que les locuteurs sont autorisés à utiliser. Aux premières loges de la pédanterie: l’Académie française de Richelieu. Tout a commencé là.


1.23 Assassinats linguistiques


Ces adorables Immortels ont contribué à l’assassinat de vocables savoureux, appropriés et légitimes de régions non encore à l’époque franciquement standardisées comme les pays basques, bretons et rochelais.
Les côtes orientales du Canada furent fréquentées par les Basques, les Bretons, les Rochelais, les Normands également, bien avant que Jacques Cartier n’en prenne possession au nom du roi de France. Ont survécu des noms de localités, termes usuels à l’époque, disparus de nos dictionnaires aujourd’hui. Ont survécu également des termes toujours en usage dans nos populations.
Quelques exemples: 
– ) Barachois: bancs de sable s’avançant dans la mer.
– ) Graves: plages de rochettes et de pierres. Le mot rochettes en est un autre utilisé au Canada mais ignoré de la plupart des dictionnaires. Il s’agit de petites roches dont l’accumulation forme des rocailles.
– ) Gravelle: gravier fin. Supposément de l’anglais, lequel le tient du français. Terme critiqué: par qui?
– ) Garnotte: régional! Le très parisien “gravillon” fait tellement plus civilisé... Plus snob!...

Ces termes éliminés de ou méprisés par la plupart des dictionnaires sont toujours présents dans la parlure des Franco-Nord-Américains. Si ces vocables sont  toujours bien vivants dans notre langue populaire, c’est que l’on se fout éperdument des délires lexicologiques franco-européens qui n’en ont que pour l’assimilation de vocables et d’expressions angloplanétaires.


1.24 Qui sont ils?


Question. Qui sont-ils et elles pour juger la parlure des locaux? 

Réponse. Si ces termes s’originent de radicaux français, latins et grecs  — voire germaniques et celtiques, s’ils sont en usage dans la population, ils sont légitimes. Les dictionnairologues s’érigent tel(le)s inquisiteur(e)s linguistiques. Cette gent s’arroge le droit de décider du droit à la vie de termes qui appartiennent au peuple. Tels droits ne sauraient appartenir aux hégémoniques éditeurs de dictionnaires.


1.25 Résistances québécoises


Les oulémas québécois de la langue combattent hardiment l’usage d’anglicismes quand des équivalents francophones existent. L’Office de la langue française du Québec va même jusqu’à introduire de nouveaux termes, tels courriels, pourriels, cybercarnets, etc. 
Ces mollahs de la langue demeurent cependant un peu trop euro-francophones quand vient le temps d’évaluer la pertinence de termes locaux, qu’ils considèrent alors comme désuets, caducs, obsolètes, périmés, dépassés, démodés... 

Sauf que... Qui sont-ils et elles pour s’attribuer de tels droits? 


1.3: La simiesque planète des dictionnaires.


Pourquoi en est-il ainsi?


1.31 Singe, singeons, singez...


La raison en est fort simple: les dictionnaires usuels privilégient l’emploi que les usagers de la langue font d’un mot: substantif, verbe, adjectif et autres. Le principe est simple:— Tout le monde le dit, dis-le donc!— Tout le monde dit ceci comme cela, dis-le donc comme cela!— Personne ne dit [plus] cela: modifie ton vocabulaire!— Personne ne dit [plus] ceci comme cela: modifie ta parlure! La béatification [au sens de valorisation béate] de la planète lexicologique des singes. Aucun respect pour un tel autoritarisme!


1.32 Conséquences


Deux pratiques relativement généralisées chez les dictionnairologues génèrent les conséquences que voici.
– ) Des termes anciens, toujours actuels ici et là, sont évacués des définitions éditées. 
– ) Des usages régionaux, par définition donc non mondialisés, sont éliminés malgré leur pertinence toujours actuelle. 
– ) Des termes de métaphysique scolastique et cybernétique sont également ignorés.
– ) De nouvelles significations par contre sont insérées, parce que largement usitées. Très souvent ces significations n'ont que peu de rapports avec la signification traditionnelle et/ou originale du terme, contribuant ainsi à tarer le vocable. 
Ainsi, sous l'influence des angloplanétaires particulièrement, des racines, préfixes ou suffixes grecs et/ou latins sont traduits tout de travers. Prenons un exemple pas nécessairement au hasard: le préfixe grec «méta». En grec classique, le préfixe suggère les idées de 1) au milieu de, parmi; 2) à la suite de, ensuite; 3) pour. Plus didactiquement, le préfixe suggère l’idée de participation.
Or de savant doctorisés traduisent le mot par SUR.  Ainsi en est-il du vocable métanombre, l’exemple parfait de fausseté lexicologique. Ainsi le «0» serait un surnombre indiquant que dans la colonne des unités, dizaines, centaines et autres, il n’y a pas de nombre. Comme dans le chiffre «10» ou «100».
Mais la gent du haut savoir utilise le composé métanombre. Alors dites-le donc ainsi!


1.4: L’art de tarer des vocables.



On peut ajouter à la liste des inepties, des termes tarés comme “concret”, “numérique”, “analogique”, “cybercarnets”. L’emploi faussé de ces mots a contribué dans de nombreux cas à tarer la notion ou le concept véhiculé par le terme, le rendant pratiquement inutilisable.


1.41 Significations tarées


Le mot concret est un exemple patent de signification tarée. On nous propose également, pour signifier des notions ou des concepts émanant des sciences et technologies contemporaines, des termes inadéquats, illogiques, tel numérique en lieu et place de l’angloplanétaire «digital». «Digital» est “insignificatif” [pas “insignifiant”] en français, mais son pendant francophone suggéré ne peut être numérique pour des motifs d’illogisme mathématique et métaphysique. La famille «analog/ie/ue/ique» s’avère un autre exemple de vocable taré.

1.42 Notions scientifiques tarées



Que penser finalement du vocable composé «cybercarnet»? Voici la définition proposée par le Grand Dictionnaire terminologique de l'Office de la Langue française:


Site Web personnel tenu par un ou plusieurs blogueurs qui s'expriment librement et selon une certaine périodicité, sous la forme de billets ou d'articles, informatifs ou intimistes, datés, à la manière d'un journal de bord, signés et classés par ordre antéchronologique, parfois enrichis d'hyperliens, d'images ou de sons, et pouvant faire l'objet de commentaires laissés par les lecteurs.

Charmant, n’est-ce pas? Sauf que... 
Le vocable n’a aucun rapport avec la définition que l’on en donne! Le composant “carnet” peut aller mais le composant “cyber” n’y a pas sa place. Pourquoi?
Cyber vient du grec Kuber. Strictement, le radical s’applique à la direction d’un bateau: diriger un navire, pilote de navire, officier de marine, etc. 
Par extension, analogie ou métaphore, en grec classique toujours, le terme en vient à signifier la direction de diverses affaires dont les affaires de l’État. 
En français, le vocable grec Kuber a donné gouvernance, gouvernement, gouverner». Le «K» s’est muté en «G».

Appliqué au domaine de la métaphysique, il s’agit de l’ensemble des principes, lois, déterminismes, mécanismes, processus, fonctionnements, structures, systèmes qui gouvernent la marche de l’Univers.

Question: quel est alors le lien avec Facebook, Twitter ou autres réseaux sociaux?  
Réponse plausible: on attribue au mot cyber l’idée de réseaux de communications. Or la mise en rapport avec la cybernétique est non seulement tirée par les cheveux mais carrément erronée. Cette errance s’applique à toutes les cyberpatentes et cybertrucs acceptés par nos dictionnaires sous l’influence de la planète anglophone.

« – Tout le monde dit ça, alors...»


1.43 Maths & métaphysique


Dans l’élaboration de ses concepts, la métaphysique tend non à représenter mais à simuler le réel. Comme le font les mathématiques et la physique [Voir: 14 Ontophysique; 002 L’intentionnalité universelle, 1.25.5&6].

Ainsi, le concept mathématique «E=MC2» ne représente rien: ni un beau ciel étoilé, ni un beau coucher de soleil, ni un humanoïde balancé du haut de la tour du parlement d’Ottawa! La formule simule un comportement du réel objectif dans le cadre de la relativité restreinte. Le concept s’applique relativement, dépendant de la nature et de l’ampleur de la masse (M) et du carré de la vitesse en cours (C2). Les calculs mathématiques simulent tout cela.

Les concepts métaphysiques doivent procéder de manière analogue, ce qui implique le ciselage des termes employés.
C’est exactement la finalité des présents lexiques: ciseler les définitions affectant les notions et concepts métaphysiques.


1.5: De l'usage de néologismes.


Que faire en présence de termes tarés? En créer d'autres! 

Ce journel regorge de néovocabilisations. À partir d’un radical franciquement valide, la pratique consiste à générer des vocables correctement construits à l’aide d’affixes: suffixes, préfixes, infixes. Et à déterminer leurs acceptions. Cette pratique va en indisposer un grand nombre. Peut-on prophétiser que des contestataires vont en profiter pour psychanalyser ou psychologiser l’auteur de ce journel. Diagnostique prévisible: «trouble grave d'opposition post-pubertaire...» Sachez le dit auteur tout désemparé...


1.51 Néologismes et néovocabilisations


Les néovocabilisations s’avèrent pertinents et essentiels pour des fins de clarté de la pensée. Ils sont tous définis et légitimés dans les divers lexiques [voir plus bas]
Les néologismes pour la plupart empruntés au monde scientifique, surtout aux métaphysiciens structosystémiques, sont également définis, expliqués et légitimés dans les divers glossaires, exposés, articles et autres commentaires.

Par contre tout emploi nouveau d’un mot n’est pas néologisme. Voici une définition du Larousse en ligne:
Tout mot de création récente ou emprunté depuis peu à une autre langue ou toute acception nouvelle donnée à un mot ou à une expression qui existaient déjà dans la langue.
Le Petit Robert raconte la même chose, un peu différemment:
Emploi d’un mot nouveau (soit créé, soit obtenu par dérivation, composition, troncation, siglaison, emprunt, etc: néologisme de forme) ou emploi d’un mot, d’une expression préexistants dans un sens nouveau (néologisme de sens).
Les Terriennes normales se couchent-t-elles le soir en rêvant de siglaisons? Pourtant elles le devraient, surtout quand on leur cause de l’UNIFEM [Fonds de développement des Nations unies pour la femme] ou de l’INSTRAW [Institut international de recherche et de formation des Nations unies pour la promotion de la femme]. Il s’agit là d’acronymes néologiques. 

On aura compris que ces néologismes n’ont rien à voir avec des néovocables, lesquels sont constitués de radicaux historiquement reçus enrichis d’affixes.


1.52 Contractions ≠ néologismes.


Nous utilisons ici le mot journel, composition à partir de JOURNal et Electronique. Mot formé sur le modèle reçu au Québec de courriel  — composition formée à partir de COURRIer Electronique.
S’il ne s’agit point de néologismes, il s’agit cependant de néovocables.


1.53 Constructions grammaticales correctes.


Le mot insignificatif utilisé plus haut est une construction légitime et valide prévue par les règles de grammaire concernant les affixes et suffixes. “Insignificatif” n’est pas un néologisme.

Pour éviter des chicanes inutiles et le plus souvent fastidieux, il importe de comprendre ce qui suit.

Le génie français n’interdit pas la construction de mots nouveaux à partir de radicaux existants. Ces mots se construisent à l’aide de préfixes établis, de suffixes établis, ou d’infixes variables. La règle: respecter la signification propre de chacun des affixes.

– ) Prenons le radical «regl». 
Exemple de suffixe d’un substantif: règlement. Pour former un verbe, on ajoute un suffixe approprié au précédent suffixe: réglementer.  Le jeu entre «é» et «è» est pure affaire de sonorité. 
Exemple de préfixe: règlement.
Exemple d’infixe. Le «u» entraîne un changement de classes de réalités signifiées, tout en conservant l’idée de base: régulation
– ) Il en est de même du radical «vocabl». Le suffixe «e» donne vocable; l’infixe «u» combiné au suffixe «aire» donne vocabulaire.


Conséquemment  peut-on former des mots absents des dictionnaires dans la mesure où l’on suit les règles grammaticales et les significations des affixes.




~ II ~

UN BREF TOUR DES DICTIONNAIRES

UTILISÉ EN CE JOURNEL.



Petit Larousse. Dictionnaire pratique pour ses deux sections intégrées: lexique général et lexique des noms propres.

Petit Robert. Pratique pour se démêler au travers des synonymes. Pour également trouver le mot juste.

Quillet. En 20 volumes! Pertinent pour l'usage grammatical des mots et la lexicologie. Pour le reste, fait une belle jambe à une bibliothèque.

De Villers. Utile pour les canadianismes... Surtout ne craint pas de reconnaître les particularités des régions de la planète. Incontournable pour l’usage grammatical des mots et locutions. Lexique un peu trop incomplet. Le jour où tous les mots en usage tant populaires que savants vont s’y retrouver, va détrôner Le Larousse dans la Franco-Nord-Amérique.

Le Robert historique. En trois volumes. Là où l'on se fait expliquer les vraies affaires et les pourquoi des comment cela se fait-il que... Les glossaires du présent journel s'en inspirent abondamment.

Le Lexus de Larousse. Au regard de l’usage classique des termes, incontournable. Réédité en 2014. 

Le grand dictionnaire terminologique de l'Office de la Langue française. Le titre est long longtemps! On le trouvera ici. Ce dictionnaire s’avère d’une grande utilité pour la précision, la concision et l'analyse de ses définitions. Tout particulièrement peut-on apprécier les définitions par champs d'application. Peut-on également apprécier la validation de québécismes ravissants. D'autres trouvailles, tel «blogue», ne se méritent toutefois pas de dithyrambiques félicitations...

Le Robert, Dictionnaire des synonymes, nuances et contraires. Faire usage de synonymes pour varier un texte, c’est bien. Aucun mot ne véhicule cependant exactement la même acception qu’un autre mot considéré comme synonyme. Existent des nuances qu’il faut connaître. Le choix du terme le plus approprié s’impose.

Pour créer des termes qui contournent les vicissitudes de certains mots français, il s’avère de bon ton de faire appel aux radicaux grecs. Les Bailly et Hatier deviennent alors incontournables.
Hachette, A. Bailly, dictionnaire grec-français.
Hatier, dictionnaire français-grec. 

Quand les radicaux grecs ne répondent pas à l’appel, il faut alors se tourner vers le latin.
Hachette, F. Gaffiot, latin-français.
E.B. Eugène Trénel, français-latin. 

Quand un article ou un commentaire fait appel à d’autres sources, on n’a d’autres choix que de fouiller la planétoile.



Aucun commentaire:

Publier un commentaire

Je vidange:
1) les libelles diffamatoires;
2) les attaques personnelles gratuites et/ou sans rapports avec le propos;
4) le racisme sous toutes ses formes
5) ainsi que les textes incompréhensibles parce que trop mal rédigés.
6)En passant,j'ai activé le correcteur de texte. J'apprécierais que l'on s'en serve...