~ 0 ~
Prolégomènes
0.1 Préface
L’AndroCritique est un répertoire du journel «AndroTerrier» qui se consacre à l’observation de certains faits qui intéressent le journeliste dans un premier temps; qui se consacre à l’analyse de ces faits et des opinions émises quant à ces faits dans un deuxième temps; qui se permet finalement d’émettre des jugements de valeurs sur l’ensemble du sujet observé et analysé.
Ce répertoire se caractérise par son style analytique. Qu’est-ce à dire?
0.11 Genre littéraire
Ce répertoire débat de questions dignes de s’y intéresser. Par définition, un débat alimente la discussion, voire la contestation. Les polémiques sont réservées à cet autre répertoire ainsi intitulé «L’AndroGuerrier». L’icelui se veut résolument pamphlétaire. Telle n’est pas l’intention du présent répertoire.
L’usage du terme critique est ici didactique. La critique se définit comme une analyse destinée à fonder un ou des jugements de valeurs. Ainsi comprise, une critique peut s’avérer positive, voire dithyrambique. L’usage courant attribue au terme une acceptation plutôt négative. Ce n’est pas toujours le cas ici.
0.12 Longueur des articles
La configuration des articles de ce répertoire fait en sorte qu’ils consomment à la fois temps et espace. Ils consomment surtout beaucoup d’espace, ce qui ne convient guère aux gens qui décrochent après la vingtième ligne. Ni à ceux et celles qui perdent la compréhension d’une phrase quand elle comporte plus qu’un sujet, un verbe, un complément, et maximalement une proposition subordonnée. Les articles de ce répertoire sont, la grande majorité, longs et travaillés dans le contexte du style littéraire propre à ce journel.
0.13 Références
Volontairement, les textes ne sont pas paquetés de références à la manière des thèses de maîtrise ou de doctorat. Un tel paquetage ne fait qu’alourdir la lecture. Des références cependant sont fournies sous formes d’hyperliens quand jugées utiles. Sinon, si l’on désire confronter les analyses et jugements émis lors d’un débat, on fera ses propres recherches sur la planétoile ou ailleurs.
0.14 La plateforme analytique.
La plateforme analytique est métaphysique. On trouvera tous les éléments pertinents de cette grille d’analyse dans l’exposé «L’intentionnalité universelle» dont on trouvera l’hyperlien ci-dessous en 0.24. On pourrait porter une attention particulière aux chapitres suivants:
1.1 Logique métaphysique 101 — particulièrement les concepts de binarité et contingencité;
2.1s Les concepts de nécessité et hasard.
Ainsi en va-t-il de ce répertoire.
0.2 Symbolique des couleurs
À retenir
Définitions
Liens
Notes
Termes importants
0.3 Préalables
0.21 0 Présentation générale; 0.1 Le présent journel.
0.22 0 Présentation générale; 0.2 Symbolique du montage graphique.
0.23 00 Lexiques; 1 Présentation générale.
0.24 14 Ontophysique; 002 L’intentionnalité universelle.
0.4 Prérequis
0.31 Critique L’internaute.
0.32 Critique Centre national des ressources textuelles et lexicales.
0.5 Terminologie
Binarité.
Le Petit Terminaire; Le Grand Notionnaire.
Catégorie:
Le Petit Terminaire; Le Petit Notionnaire; Le Grand Notionnaire.
Contingence.
Le Petit Terminaire; Le Grand Notionnaire.
Idéonoêmie
Le Petit Terminaire
Journel.
Le Petit Terminaire.
Métaphysique.
Le Petit Terminaire
Nomies
Le Petit Terminaire
Néologisme.
Le Petit Terminaire
Néovocable.
Le Petit Terminaire
Paralogie
Le Petit Terminaire
Planétoile
Le Petit Terminaire.
Sensoir
Le Petit Terminaire
0.6 Introduction
Le terme «critique» fut tellement galvaudé à travers les siècles qu’on ne lui attribue désormais qu’une signifiance négative. Pour les tenants de la pensée positive tous azimuts, toute critique est de nature négativiste. La critique est associée au braillement, comme on dit en Franco-Européen. Au braillage dit-on en Franco-Canadien. Parce qu’il faille libre-obligatoirement faire montre d’esprit positif, toute critique [conçue comme négative] doit être bannie.
Ben! C’est comme ça!
Quand les fausses perceptions imposent leurs dominances, secouer de tels jougs devient pénible.
Secouer le joug, voilà pourtant ce à quoi le présent article va s’évertuer à ce faire en cette page.
Secouer le joug, voilà pourtant ce à quoi le présent répertoire va s’évertuer à ce faire en ce journel.
Parce que la critique n’a rien à voir avec le négativisme, n’en déplaise aux talibans de l’anti-intellectualisme!
Parce que les débats n’ont rien à voir avec les il-faut-être-gentil(le)s et les on-n’aime-pas-la-chicane!
Nous allons d’abord rétablir la signification des deux termes — critique et débats — afin de circonscrire l’usage que nous en ferons dans ce répertoire.
Nous allons ensuite décrire l'organisation de ce répertoire.
Nous terminerons cette présentation en exposant le concept rédactionnel des articles relevant de ce répertoire.
~ I ~
Critique et débats:
Acceptions et signifiances.
Le présent répertoire se consacre à la critique d’objets [opinions, actions, idéologies, personnalités, choses et d’autres...] ainsi qu’aux débats.
Que devons-nous entendre ici par critique et débat(s)?
Voyons voir...
1.1 L’origine du terme «critique».
Le terme critique ne date pas d’hier à l’heure de la rosée. Ce terme remonte aux racines indo-européennes, il y a de cela plusieurs millénaires. Si l’on désire s’entendre sur une ou des acceptions claires, il faut donc se brancher sur l’histoire du terme. Et respecter la signification issue de la racine du vocable.
1.11 L’indo-européen [Kri].
La racine «Kri» signifie «trier», «séparer».
Le terme devait d’abord s’appliquer à des réalités tangibles: trier et séparer des objets, des semences, des animaux, les morts après une bataille...
Le terme a pu ultérieurement intégrer des significations métaphoriques s’appliquant notamment à des rapports entre objets.
1.12 Les Grecs
Les Grecs ont fait évoluer le terme pour l’amener à signifier des réalités — objets et comportements -- beaucoup plus intellectuelles.
Les termes grecs majeurs sont les suivants:
Κρίνω [Krinô]: Trier, choisir, juger.
Κρίσις [Krisis]: Jugement.
Κριτής [Kritès]: Juge.
Vont s’ajouter:
Κριτήριον [Kritèrion]: Faculté de juger; règle pour distinguer le vrai du faux.
Κριτικός [Kritikos]: Capable de juger, de décider; décisif, critique.
Appliqués aux objets tangibles, le terme réfère aux idées de triage et de séparation.
Appliqués aux relations, le terme réfère aux idées de choix, de jugement, de décision.
1.13 Les Latins.
Le latin s’avère une langue plus mêlante, du fait que l’usage des termes diffère selon les époques, selon qu’il s’agit de la langue classique, impériale, populaire, scolastique catholique... Mêlant!
Trois termes sont empruntés directement du grec:
«Criticus-a-um», adjectif signifiant critique.
«Criticum», substantif signifiant “critique, juge d’œuvres littéraires”.
«Critica», un substantif pluriel signifiant “critiques”, “philologie”.
1.14 La Francophonie.
L’usage de la langue française qui est mienne est franco-canadien, ce parce que l’usage de la langue française n’est pas que le fait de la francité [= île de France]. L’usage généralisé en France d’une langue française soumise aux oukases des Immortels Inutiles de l’Académie française, s’est effectué postérieurement à sa diffusion en Nouvelle-France — Acadie, Canada et Louisiane.
Évidemment les franciques, de Paris surtout, ont tenu à imposer leurs diktats. Diktats que le locuteur de la francitude internationale peut bien ignorer s’ils ne correspondent pas à la racine des termes ainsi qu’à nos réalités propres. On peut consulter notre article référé en 0.23.
1.14.1 Critique: l’adjectif.
L’adjectif s’origine du grec «Κριτικός» [kritikos] signifiant «capable de juger, de décider; l’art de juger».
La racine indo-européenne est «Kri», signifiant «frotter, oindre». Le titre «Kristos» [Christ = Oint] de Jésus prend racine dans ce vocable indo-européen. Le grec classique était déjà à des années lumières de cette signifiance indo-européenne.
Le vocable nous est parvenu via le latin, charriant des acceptions sans rapports avec l’origine du mot.
Dans le langage médical, «critique» fut et est toujours associé à «crise», comme dans «état critique».
Les physiciens utilise le qualificatif pour indiquer le seuil au-delà duquel survient un changement.
Il est évident qu’en ce journel, nous ne pouvons légitimer de telles acceptions qui nous sont parvenues sous l’influence de l’anglophonie.
Par critique, nous signifions une activité liée à l’évaluation d’oeuvres et d’activités diverses.
1.14.2 Critique: le substantif.
Depuis son origine, la définition du substantif n’a jamais inclus une évaluation ou condamnation morale. Chez les Grecs, il s’agissait de juger des œuvres d’art, d'abord littéraires, puis autrement artistiques. Juger également des événements, des comportements d’un point de vue judiciaire [Distinguons justice et morale!].
Nous adoptons l'acception suivante:
La critique est essentiellement œuvre de jugements de faits et jugements de valeurs:
-) Jugement de faits: “de-quoi-ont-l’air-les-objets observés?”
-) Jugement de valeurs: appréciation positive, négative ou neutre des objets observés.
1.14.3 La démarche de l’AndroCritique.
Dans ce journel, critique réfère à une double démarche intellectuelle:
-) Jugements de faits: Présentation des objets observés — personnes, comportements, événements, situations, politiques, etc — afin d’établir les faits aussi correctement que possible.
-) Jugements de valeurs: analyse et établissement de la rectitude — ou pas — des faits observés à la lumière des principes fondamentaux devant régir toutes formes d’entités et d'organisations en ce monde.
On pourrait consulter le chapitre 3.42 du document «Contingencité», Le Grand Notionnaire, lien fourni en 0.5.
Le terme est apparu en français d’abord sous sa forme verbale. Le substantif a suivi, qualifié de “déverbal”.
Terme d’origine inconnue.
Se compose du préfixe «de», lequel arrimé à un verbe suggère l’idée d’intensité;
Et du verbe «battre». Le vocable provient du latin impérial.
Au sens propre ou figuré, débattre suggère l’idée de «frapper vigoureusement à coups répétés».
Au sens figuré, appliqué aux échanges verbaux ou écrits, signifie «discuter énergiquement».
En québécois, «parler fort!»
Le substantif procède du verbe. Il ne s’applique plus qu’aux seules discussions entre humanoïdes.
Sauf que...
Au singulier, s’applique aux querelles, aux controverses, aux engueulades...
Au pluriel, prend le sens de «délibérations». Historiquement, s’applique mais non exclusivement aux domaines judiciaires et parlementaires. L’anglais “debate” vient du français et non l’inverse!
Un débat par conséquent se définit comme un échange vigoureux destiné aux cervelles vertébrées. Les invertébrés cérébraux vont se cacher sous une coquille appelée sur la Planétoile: nétiquette. Cela témoigne de la part des faiblards de leur incapacité à tolérer un climat où ça brasse un tantinet.
Par contre, les attaques injustifiées, les invectives, les libelles diffamatoires fallacieux, les calomnies ne font pas partie de débats sains. En certains cas, peuvent s’avérer criminels. Tels comportements justifient partiellement l’existence des dites nétiquettes, voire d’une censure ciblée.
Il n’en reste pas moins qu’il n’y a de débats que lors d’échanges vigoureux.
C’est devenu une fixette nationale et internationale: à propos de "toute pis de rien pantoute": «Faudrait se poser des questions...» Rien que cela: (se) poser des questions!
Cette fixette ne vient souvent pas seule. Il importe en effet de débattre de "toute pis de rien pantoute".
Quand cependant on demande à quelqu’un: «— Qu’est-ce que tu entends par débat? Qu’est-ce que débattre?» On a le plus souvent droit à de vagues définitions, différentes selon les interlocuteur(e)s.
On en a une meilleure idée quand on écoute des gens débattre:
« — Il faut comprendre que...» «— Il faut savoir que...» «— On doit prendre conscience que...»
Or deux débatteur(e)s peuvent utiliser ces mêmes formules en nous enfonçant dans les tympans ou les rétines des idées absolument contradictoires.
Au fond, ces belles formules signifient: « — Vous devez adopter mon point de vue si vous êtes des “comprenants”, des “sachants”, des “conscients”. Autrement vous êtes des cruches, des ignares, des inconscients.»
1.23.1 Principes argumentatifs
Dans ce répertoire, s’il faut accorder un ordre d’importance, les réponses ont priorité sur les questions. La valeur première cependant se situe entre la question et la réponse, notamment l’argumentaire.
Unio. L’argumentaire doit se fonder sur des arguments solides. Objectivement validés. Penser que l’on puisse penser n’importe quoi en se basant sur l’idée que l’on a le droit de penser ce que l’on veut sans validations de ses opinions relève à la fois de l’utopie et de la jobardise.
Deuzio. Un argumentaire ne rejoint jamais une “vérité” absolue. En cet Univers, tout est mouvement, tout évolue, même les idées, même les convictions, même les certitudes scientifiques.
La valeur d’un argumentaire dépend de la valeur qualitative des sources validées au moment de l’émission du dit argumentaire.
1.23.2 Relativité des principes argumentatifs
En contexte de macro/mezzocosmos, le déterminisme est un principe structurant et régulateur de l'Univers. La connaissance des déterminismes doit mener la science à élaborer des certitudes.
En contexte de microcosmos étudié par la mécanique quantique, la tendance est à substituer les probabilités imprévisibles aux certitudes. On y cause même de “singularités”, en faussant totalement la signification historique du vocable. Mais les Angloïdes sont ainsi culturellement programmé(e)s: si un vocable fait “sexy”, on l’adopte et lui fait dire n’importe quoi!
L'univers quantique serait donc anarchique! Oui mais wow! Des physiciens quantistes opinent que cette anarchie n'est qu'illusion! L'Univers serait entièrement et totalement déterminé! Le problème: on ne peut percevoir l'ordre régissant toutes choses et phénomènes voilé par ce chaos...
L’explication atomique du macrocosmos n’a pas encore trouvé son harmonie avec l’explication quantique du microcosmos. On aura peut-être trouvé avant que l’auteur de ces lignes ne défuntise...
1.23.3 Sort des élucubrations fantaisistes
Bref, tout argumentaire ne peut s’attribuer qu’une validité relative, relative à la valeur de ses assises scientifiques; relative également à l’état des connaissances scientifiques du moment.
Par contre les élucubrations fallacieuses, fabulatoires, ésotériques, spiritualistes qu’il s’avère impossible de valider de quelques manières que l’on s’y prenne, sauf à grands coups de paralogismes intenables, de spéculations délirantes, sont à écarter de toutes formes de débats rationnels.
Une opinion n’est valide que suite à la validation rationnelle de son argumentaire.
Corollaires:
-) Une grille d’analyse métaphysique n’est valide que dans la mesure où les principes sur lesquelles elle se base soient eux-mêmes validés par la science.
–) Ne sont scientifiques que des concepts rationnels qui puissent se traduire en concepts mathématiques ou biochimiques. Autrement ne s’agit-il que d’études empiriques.
1.24.1 Quintogenèses rétroactives
Quintogenèse est un néologisme mais grammaticalement et correctement construit.
Quinto = cinq;
Genèse = évolution, cheminement.
On veut ainsi signifier un cheminement en cinq étapes.
La quintogenèse “questions/réflexion/interprétation/argumentaire/réponse” peut s’analyser sous l’angle de la métaphysique cybernétique.
1) La question porte sur un objet de connaissance, objet d’analyse.
2) La question se définit comme une action appelant une réaction: la réflexion.
3) La réflexion va amorcer un processus d'interprétation de la question.
4) La réflexion va générer l’argumentaire.
5) La réflexion va déboucher sur une réponse, laquelle pouvant s’avérer aussi éclairante que «je ne sais pas!»
La réponse est de l’ordre de la rétroaction qui dans une boucle interactive, va remodeler la question d’une manière ou d’une autre. Si la question porte sur un comportement, l’icelui sera modifié par effet rétroactif. La réponse s'inscrit donc dans un processus interprétatif, autrement dit est interprétation de la question.
Notons que l’objet de connaissance, chose ou comportement, ne sera pas modifié par la question mais par l’interprétation de la question qui est effet rétroactif.
1.24.2 Exemples
Prenons l’exemple d’un radar qui va gérer le tir de canons ou la gouvernance d’un navire. Le radar lance un signal [question] lequel atteint un objectif qui lui revient sous forme de données [ré-flexion]. L’informatique reconstruit ces données sous forme d’arguments, pour utiliser un terme anglophone, de périmètres en bon français. Sous forme de graphiques ou d’images, les périmètres vont fournir une description de la zone sondée [jugements de faits], fournissant des renseignements pertinents [distance, nature des objets, etc = jugements de valeurs = interprétation des faits]. Le radar récupère le signal modifié afin d’adapter au besoin la ligne de tir ou la trajectoire du navire [rétroaction].
Le comportement humain — incluant la pensée humaine — est tout aussi «cybernétique». Il s’avère donc pertinent d’analyser les divers phénomènes et objets au moyen d’une telle grille d’analyse, ce pour les fins de validation des argumentaires.
1.24.3 Le schème linéaire rétroactif.
Tout message est codé par l’émetteur, décodé par le récepteur. Émissions-réceptions obéissent à des paramètres, lesquels peuvent se voir embêtés par des interférences ou des erreurs de décodages. Le récepteur va répondre, sa réponse constituant une émission qui va rétroactivement modifier quelque chose chez l’émetteur.
Le décodage effectué selon les paramètres du récepteur constitue l’un des modes argumentatifs. Ce mode ou schème est indissociable du schème modulaire.
1.24.4 Le schème modulaire
La pensée est au coeur de la communication. Elle est l’agent organisateur. Pour illustrer son fonctionnement, rien de plus utile que le schème modulaire programmant les robots.
La pensée constitue un système de réseautage de diverses fonctions humaines; elle est au coeur de l’action.
L’une des fonctions consiste à coder les messages pour fins d’émissions, à décoder les messages perçus.
D’autres fonctions actionnent les comportements humains, également les activités “cerveaux” [pour servo].
Une autre fonction que nous appelons intellect représentationnel reconstruit les données perçues abstraites du Réel afin de figurer l’objet réel sous une forme mentale distincte. C’est la fonction constructiviste de la pensée.
Une dernière fonction, que nous appelons intellect simulationnel, simule le comportement de cet objet réel reconstruit afin d’en comprendre la nature, la finalité, le comportement etc. C’est la fonction rationnelle de la pensée.
Chaque fonction constitue un module, une entité distincte mais en interactions constantes les unes avec les autres.
1.24.5 Concept de relation
Tout dans l’Univers, tant à l'échelle des macrocosmos, microcosmos ou mezzocosmos [à notre échelle], est régi par les mêmes lois de la nature... relativement! D’un cosmos à l’autre, d’une dimension à l’autre, c’est semblablement différent ou différemment semblable. Les Latins disaient: «mutatis mutandis!»: il suffit d’adapter ce qui doit être adapté.
Toutes relations sont essentiellement rapports et interactions avec l’environnement. Le tableau que voici:
La relation est essentiellement rapports et interactions entre les entités — choses ou phénomènes — présentes dans les environnements interne et externe d'un objet réel.
Les rapports sont conformés par les modèles d'échanges en cours dans un contexte donné.
Les interactions sont déterminées par les causalités sévissant dans un environnement donné.
Causalités et échanges constituent le régime régissant toutes formes de relations.
1.24.6 Applications à la Critique
La nature des échanges va déterminer la nature des rapports à l'objet d'analyse: positif, négatif, dithyrambique, renforçant, divergeant, diurétique [je suis poli...], agressif, amical etc.
Les causalités vont conditionner le modèle interréactionnel avec l'objet d'analyse:
-) typonomie: de quel genre d'objet s'agit-il; volet morphogenèse: dans quel sens évolue l'objet, quel est son historique etc;
-) téléonomie: quel est l'impact de l'objet sur la pérennité de l'Univers, la durée des êtres de nature, la survie de la biosphère et des humains [l'action des gens préoccupés par l'état de la planète et le futur de l'humanité est d'ordre téléonomique]; l'objet d'analyse favorise ou handicape la préservation, la défense, la promotion, le développement, l'épanouissement des individus, groupes, sociétés;
-) autonomie: dans quel mesure l'objet d'analyse favorise-t-il ou handicape-t-il l'autonomie des processus, des humains:
-) déontonomie: l'objet d'analyse favorise-t-il ou défavorise-t-il chez l'humain la satisfaction des besoins fondamentaux: besoins somatiques, psychiques, psychologiques, psychosociaux, socio-économiques; l'instinct de migration par exemple est inscrit dans la nature universelle: les galaxies migrent [Andromède et Voie lactée devraient se collisionner dans quelques milliards d'années]. les végétaux migrent, les animaux sur terre et en mer migrent, les humains migrent depuis l'ère des primates...
1.25 Argumentation: division des articles
L’argumentation est au coeur du présent répertoire. Il en est le noeud. Il importe donc de bien en comprendre la mécanique.
Comment donc l’argumentaire se développe-t-il en ces lieux que sont les nôtres ici? Comme suit!
Primo: le «De-quoi-c’est-dont-on-se-cause?».
La première section d’un article relate les faits posant question(s). S'il y a lieu, elle situe ces faits dans leurs contextes.
Deuzio: Analyse des faits évoqués.
La deuxième section se consacre à l’analyse de la question. Au besoin, présentation de la grille d'analyse utilisée.
Troizio: jugements de valeurs portés sur l’objet du débat en cours.
Cette section peut présenter une critique des valeurs en cause. Elle peut présenter les options préconisées par l'auteur de l'article.
Dans ce répertoire, l’argumentaire constituant un débat se construit selon un schème modulaire.
La plupart des arguments intégrés dans un texte proviennent de modules qui ont leur existence propre par ailleurs. Il s’agit de textes pouvant émaner des lexiques, des exposés des répertoires métaphysiques, d’articles d’autres répertoires traitant de sujets connexes, voire d’apports externes à ce journel.
Tous ces modules sont interreliés lors de la rédaction du texte. Les liens explicatifs entre les modules intégrés constituent les matériaux propres au texte en cours de rédaction.
Les “nétiquettes” n’ont pas leur place dans les débats. Par contre, les libelles diffamatoires sans fondements, les calomnies, les attaques vengeresses ne peuvent en rien fonder un débat.
Il importe cependant d’appeler les choses par leurs noms. Un argumentaire stupide, lubique, crétinistique est un argumentaire tel. On qualifie les choses par ce qu’ils sont. Bien sûr qualifier un argumentaire [et non la personne] de stupide constitue un libelle diffamatoire. Mais justifié quand justifié! La peur des mots est incompatible avec la notion de débat.
Dans ce répertoire, c’est comme ça que c’est comment c’est-il: franc et direct!
~II ~
Ce répertoire valorise donc la critique et les débats.
Mais la critique de quoi? Des débats à propos de quoi?
Nous sommes ici dans un journel axé sur la métaphysique. Bien!
Sauf que... quel est le lien entre critiques et débats d’une part; la métaphysique d’autre part?
Voyons voir...
Nous nous causons ici d’une métaphysique qui source à la science. Elle ne peut pour autant se targuer d’un statut de «scientifique». La métaphysique n’est pas une science.
Qu’est-elle alors?
Ajoutons d’emblée qu’il n’existe pas une métaphysique mais des métaphysiques d’inspiration scientifique. Nous n’en traitons ici que d’une manière globale.
J'utilise l'expression «métaphysique d'inspiration scientifique» non parce que la métaphysique soit une science mais pour la distinguer des usages abusifs du terme. Il s'agit dans la pratique de se tenir loin des ésotérismes, spiritualismes et autres délires fabulatoires qui s'approprient indûment le terme.
La métaphysique n'est pas une science. Il importe plutôt de l'entrevoir comme une grille d'analyse élaborée à partir d'une compréhension actuelle des principes et lois physiques. Parce que la connaissance de ces principes et lois évolue, une grille d'analyse métaphysique ne peut se congeler comme un iceberg. Elle se veut obligatoirement évolutive, totalement fluide.
Quand de savant(e)s doctorisé(e)s nous enfoncent dans les rétines et tympans des «doctrines métaphysiques» d’un tel et d’un tel autre, c’est qu’il s’agit en fait d’idéologies. Or la métaphysique n’a rien à voir avec les idéologies.
Parce que la métaphysique n'est pas une idéologie, elle ne peut conséquemment adopter de schèmes doctrinaires. Elle ne se veut pas représentation du réel mais simulation de ce réel — à la manière des mathématiques. Qui va prétendre que les mathématiques sont une idéologie?
2.11.2 Les deux formes majeures
La métaphysique réflexive recherche, au cœur de la physique, les principes régissant toutes formes d’organisations meublant notre univers.
Dans le prolongement de la physique, la métaphysique appliquée tend à établir les liens nécessaires entre les principes universels et leurs applications chez les objets observés.
Le présent répertoire se positionne dans le prolongement de la métaphysique appliquée.
2.11.3 Les nomies
Ces principes émergeant de la physique en couvrent large. Ils réfèrent aux lois naturelles, aux déterminismes, contraintes, contextes, écosystèmes, rapports et relations, logistiques, tendances, forces, rapports de forces, forces centripètes et centrifuges, attractions, magnétismes, capacités, potentiels, virtualités, nécessités, hasards etc.
Un terme résume tout cela dans ce journel: les nomies.
Les nomies font partie d'une étude particulière dans le sous-répertoire «14» consacré à l'ontophysique [«Intentionnalité universelle, c. 1.42].
Ces nomies sont de quatre ordres:
-) Typonomie: ordre régissant les types d'êtres existant dans l'univers.
-) Téléonomie: ordre régissant la finalité ultime des êtres: pérennité de l'Univers, durée des corps physiques, survie des êtres de la biosphère.
-) Kinèséonomie ou autonomie: ordre régissant le mouvement.
-) Déontonomie: ordre régissant les conditions essentielles, nécessaires à la viabilité des êtres [rapports à la nécessité de nature» entre l'objet et son environnement externe d'une part; entre ses composantes internes d'autre part].
Ces termes seront rarement utilisés dans les articles publiés dans le cadre du présent répertoire. Quand on embarque dans une voiture, on ne voit pas les structures de la chose. Elles sont pourtant là! Il en est de même de la confection des articles du présent répertoire.
Le concept mathématique suivant [graphique à la droite de la page]... Cette équation ne représente en rien l'image d'une galaxie bouffée par un trou noir.
L'équation simule pourtant un réel: les comportements de la nature régis par la loi de la gravité.
Les tableaux illustrant la grille d'analyse exercent les mêmes fonctions de simulation. Ces tableaux ne sont pas «représentationnels» mais «simulationnels».
La critique métaphysique l'est essentiellement d’œuvres. Les oeuvres sont le produit d’un art, d’un savoir-faire; d'une (in)compétence. Notons que tout artefact, tout produit de l’humain, est une oeuvre — incluant les théories scientifiques et empiriques, les idéologies, les théologies etc.
Dans ce journel, l’usage qui est le nôtre du terme «critique» fait appel aux jugements de faits ainsi qu’aux jugements de valeurs portés sur des œuvres.
Ces œuvres peuvent relever de l’Art, de l’Artisanat ou de l’Industrie.
Essentiellement et pour faire court,
-) L’Art vise la perfection de l’œuvre et entraîne la contemplation de l'icelle. La particularité de l'Art: s'avérer quasiment toujours inutile. L'Art existe pour se faire admirer et non pour servir au sens utilitaire du terme.
-) L’Artisanat vise l’usage de l’œuvre, donc l’utilité dans tous les sens et toutes les portées du terme. L'Artisanat maintient un lien avec l'Art: celui de viser une grande qualité de l’œuvre. Il peut donc allier beauté et utilité. Générer l’admiration et la jouissance [jouissance par l’usage]. L’architecture en est un exemple. La poterie, le tissage, le tricotage également.
-) L'artisterie — néovocable — volet industriel de l’art, vise l'habileté dans la production de l’œuvre ainsi que la multireproduction d’oeuvres identiques. L'industrie se veut productiviste. Elle s'avère essentiellement utilitaire. Elle maintient un lien avec l'ingéniosité, d'où le qualificatif «ingénieux». La notion s’applique à toutes formes de productions incluant le divertissement.
La critique de l’Art et de ses composantes relève d’avantage de la philosophie que de la métaphysique. La critique métaphysique va intervenir dans le contexte décrit ci-après. Le répertoire de ce journel consacré à l’Art a nom de MétArt [40].
La critique repose sur un ou des argumentaires qui en l’occurrence ici, doivent reposer sur les principes universels. Tout argumentaire toutefois génère ses anti-argumentaires. À toute thèse correspond une antithèse. La résolution d’une telle opposition n’est pas nécessairement dans l’élaboration d’une synthèse mais dans un choix thétique [choix d'une interprétation que l'on estime en adéquation avec l'objet réel]. L’argumentaire a pour fin la validation d’un tel choix.
D’où inévitables débats. Ce répertoire qui multiplie les thématiques opère donc sur le mode “débats”.
Pour participer, on publie son commentaire à la fin de l’article. On peut également cocher une appréciation personnelle.
~ III ~
La rédaction des articles associés au présent répertoire emprunte une approche similaire dans la plupart des cas, respecte une éthique propre à ce journel et ne se préoccupe guère de la contemporanéité des sujets.
Les titres inscrits à la légende du journel prennent la forme suivante:
Date: celle de la publication.
Thème: arts, constitutions, écologie, économie, politique, social etc.
Objet d'analyse: ce sur quoi porte le débat.
Description(s): question, sujet, point de vue etc.
Comme suit:
Date Thème; objet: description(s).
3.1 La structure des textes
La critique fait donc appel aux jugements de faits d’abord, aux jugements de valeurs ensuite.
Les débats comportent trois parties:
TITRE 0
Les prolégomènes comportent au besoin six sections:
0.1 Préface. Présente le contexte du débat.
0.2 Symbolique des couleurs. La couleur de base du texte est d’un vert très pâle. Cinq couleurs sont porteuses de significations [voir 0.5,].
0.3 Préalables. Font appels à des articles de ce journel constituant les fondements de l'article en cours.
0.4 Références. Réfèrent à des œuvres externes au présent journel.
0.5 Terminologie. Réfère aux termes utilisés d’une manière générale dans ce répertoire.
0.6 Introduction. Introduit le sujet de l'article en annonçant le contenu des trois titres du corps de l’article.
-) Jugements de faits: Présentation des objets observés — personnes, comportements, événements, situations, politiques, etc — afin d’établir les faits aussi correctement que possible.
-) Jugements de valeurs: analyse et établissement de la rectitude — ou pas — des faits observés à la lumière des principes fondamentaux devant régir toutes formes d’entités et d'organisations en ce monde.
On pourrait consulter le chapitre 3.42 du document «Contingencité», Le Grand Notionnaire, lien fourni en 0.5.
1.2 Le vocable «Débat(s)».
Le terme est apparu en français d’abord sous sa forme verbale. Le substantif a suivi, qualifié de “déverbal”.
1.21 Débattre
Terme d’origine inconnue.
Se compose du préfixe «de», lequel arrimé à un verbe suggère l’idée d’intensité;
Et du verbe «battre». Le vocable provient du latin impérial.
Au sens propre ou figuré, débattre suggère l’idée de «frapper vigoureusement à coups répétés».
Au sens figuré, appliqué aux échanges verbaux ou écrits, signifie «discuter énergiquement».
En québécois, «parler fort!»
1.22 Le déverbal «débat(s)»
Le substantif procède du verbe. Il ne s’applique plus qu’aux seules discussions entre humanoïdes.
Sauf que...
Au singulier, s’applique aux querelles, aux controverses, aux engueulades...
Au pluriel, prend le sens de «délibérations». Historiquement, s’applique mais non exclusivement aux domaines judiciaires et parlementaires. L’anglais “debate” vient du français et non l’inverse!
Un débat par conséquent se définit comme un échange vigoureux destiné aux cervelles vertébrées. Les invertébrés cérébraux vont se cacher sous une coquille appelée sur la Planétoile: nétiquette. Cela témoigne de la part des faiblards de leur incapacité à tolérer un climat où ça brasse un tantinet.
Par contre, les attaques injustifiées, les invectives, les libelles diffamatoires fallacieux, les calomnies ne font pas partie de débats sains. En certains cas, peuvent s’avérer criminels. Tels comportements justifient partiellement l’existence des dites nétiquettes, voire d’une censure ciblée.
Il n’en reste pas moins qu’il n’y a de débats que lors d’échanges vigoureux.
1.23 Questions ou réponses?
C’est devenu une fixette nationale et internationale: à propos de "toute pis de rien pantoute": «Faudrait se poser des questions...» Rien que cela: (se) poser des questions!
Cette fixette ne vient souvent pas seule. Il importe en effet de débattre de "toute pis de rien pantoute".
Quand cependant on demande à quelqu’un: «— Qu’est-ce que tu entends par débat? Qu’est-ce que débattre?» On a le plus souvent droit à de vagues définitions, différentes selon les interlocuteur(e)s.
On en a une meilleure idée quand on écoute des gens débattre:
« — Il faut comprendre que...» «— Il faut savoir que...» «— On doit prendre conscience que...»
Or deux débatteur(e)s peuvent utiliser ces mêmes formules en nous enfonçant dans les tympans ou les rétines des idées absolument contradictoires.
Au fond, ces belles formules signifient: « — Vous devez adopter mon point de vue si vous êtes des “comprenants”, des “sachants”, des “conscients”. Autrement vous êtes des cruches, des ignares, des inconscients.»
1.23.1 Principes argumentatifs
Dans ce répertoire, s’il faut accorder un ordre d’importance, les réponses ont priorité sur les questions. La valeur première cependant se situe entre la question et la réponse, notamment l’argumentaire.
Unio. L’argumentaire doit se fonder sur des arguments solides. Objectivement validés. Penser que l’on puisse penser n’importe quoi en se basant sur l’idée que l’on a le droit de penser ce que l’on veut sans validations de ses opinions relève à la fois de l’utopie et de la jobardise.
Deuzio. Un argumentaire ne rejoint jamais une “vérité” absolue. En cet Univers, tout est mouvement, tout évolue, même les idées, même les convictions, même les certitudes scientifiques.
La valeur d’un argumentaire dépend de la valeur qualitative des sources validées au moment de l’émission du dit argumentaire.
1.23.2 Relativité des principes argumentatifs
En contexte de macro/mezzocosmos, le déterminisme est un principe structurant et régulateur de l'Univers. La connaissance des déterminismes doit mener la science à élaborer des certitudes.
En contexte de microcosmos étudié par la mécanique quantique, la tendance est à substituer les probabilités imprévisibles aux certitudes. On y cause même de “singularités”, en faussant totalement la signification historique du vocable. Mais les Angloïdes sont ainsi culturellement programmé(e)s: si un vocable fait “sexy”, on l’adopte et lui fait dire n’importe quoi!
L'univers quantique serait donc anarchique! Oui mais wow! Des physiciens quantistes opinent que cette anarchie n'est qu'illusion! L'Univers serait entièrement et totalement déterminé! Le problème: on ne peut percevoir l'ordre régissant toutes choses et phénomènes voilé par ce chaos...
L’explication atomique du macrocosmos n’a pas encore trouvé son harmonie avec l’explication quantique du microcosmos. On aura peut-être trouvé avant que l’auteur de ces lignes ne défuntise...
1.23.3 Sort des élucubrations fantaisistes
Par contre les élucubrations fallacieuses, fabulatoires, ésotériques, spiritualistes qu’il s’avère impossible de valider de quelques manières que l’on s’y prenne, sauf à grands coups de paralogismes intenables, de spéculations délirantes, sont à écarter de toutes formes de débats rationnels.
Une opinion n’est valide que suite à la validation rationnelle de son argumentaire.
Corollaires:
-) Une grille d’analyse métaphysique n’est valide que dans la mesure où les principes sur lesquelles elle se base soient eux-mêmes validés par la science.
–) Ne sont scientifiques que des concepts rationnels qui puissent se traduire en concepts mathématiques ou biochimiques. Autrement ne s’agit-il que d’études empiriques.
1.24 Actions / réactions / rétroactions...
1.24.1 Quintogenèses rétroactives
Quintogenèse est un néologisme mais grammaticalement et correctement construit.
Quinto = cinq;
Genèse = évolution, cheminement.
On veut ainsi signifier un cheminement en cinq étapes.
La quintogenèse “questions/réflexion/interprétation/argumentaire/réponse” peut s’analyser sous l’angle de la métaphysique cybernétique.
1) La question porte sur un objet de connaissance, objet d’analyse.
2) La question se définit comme une action appelant une réaction: la réflexion.
3) La réflexion va amorcer un processus d'interprétation de la question.
4) La réflexion va générer l’argumentaire.
5) La réflexion va déboucher sur une réponse, laquelle pouvant s’avérer aussi éclairante que «je ne sais pas!»
La réponse est de l’ordre de la rétroaction qui dans une boucle interactive, va remodeler la question d’une manière ou d’une autre. Si la question porte sur un comportement, l’icelui sera modifié par effet rétroactif. La réponse s'inscrit donc dans un processus interprétatif, autrement dit est interprétation de la question.
Notons que l’objet de connaissance, chose ou comportement, ne sera pas modifié par la question mais par l’interprétation de la question qui est effet rétroactif.
1.24.2 Exemples
Prenons l’exemple d’un radar qui va gérer le tir de canons ou la gouvernance d’un navire. Le radar lance un signal [question] lequel atteint un objectif qui lui revient sous forme de données [ré-flexion]. L’informatique reconstruit ces données sous forme d’arguments, pour utiliser un terme anglophone, de périmètres en bon français. Sous forme de graphiques ou d’images, les périmètres vont fournir une description de la zone sondée [jugements de faits], fournissant des renseignements pertinents [distance, nature des objets, etc = jugements de valeurs = interprétation des faits]. Le radar récupère le signal modifié afin d’adapter au besoin la ligne de tir ou la trajectoire du navire [rétroaction].
Le comportement humain — incluant la pensée humaine — est tout aussi «cybernétique». Il s’avère donc pertinent d’analyser les divers phénomènes et objets au moyen d’une telle grille d’analyse, ce pour les fins de validation des argumentaires.
1.24.3 Le schème linéaire rétroactif.
Tout message est codé par l’émetteur, décodé par le récepteur. Émissions-réceptions obéissent à des paramètres, lesquels peuvent se voir embêtés par des interférences ou des erreurs de décodages. Le récepteur va répondre, sa réponse constituant une émission qui va rétroactivement modifier quelque chose chez l’émetteur.
Le décodage effectué selon les paramètres du récepteur constitue l’un des modes argumentatifs. Ce mode ou schème est indissociable du schème modulaire.
1.24.4 Le schème modulaire
La pensée est au coeur de la communication. Elle est l’agent organisateur. Pour illustrer son fonctionnement, rien de plus utile que le schème modulaire programmant les robots.
La pensée constitue un système de réseautage de diverses fonctions humaines; elle est au coeur de l’action.
L’une des fonctions consiste à coder les messages pour fins d’émissions, à décoder les messages perçus.
D’autres fonctions actionnent les comportements humains, également les activités “cerveaux” [pour servo].
Une autre fonction que nous appelons intellect représentationnel reconstruit les données perçues abstraites du Réel afin de figurer l’objet réel sous une forme mentale distincte. C’est la fonction constructiviste de la pensée.
Une dernière fonction, que nous appelons intellect simulationnel, simule le comportement de cet objet réel reconstruit afin d’en comprendre la nature, la finalité, le comportement etc. C’est la fonction rationnelle de la pensée.
Chaque fonction constitue un module, une entité distincte mais en interactions constantes les unes avec les autres.
Note. La démarche analytique préconisée dans ce journel est d'abord de nature contingentielle. On retrouvera la présentation de cette approche dans le document «contingence», chapitres 3.3 (la pensée comme étance contingentielle) et 3.4 (éléments constituants de la présente grille d'analyse), lien en 0.5.La pensée, parce que rapport à l'environnement et interrelation avec l'environnement, se définit donc comme relation.
1.24.5 Concept de relation
Tout dans l’Univers, tant à l'échelle des macrocosmos, microcosmos ou mezzocosmos [à notre échelle], est régi par les mêmes lois de la nature... relativement! D’un cosmos à l’autre, d’une dimension à l’autre, c’est semblablement différent ou différemment semblable. Les Latins disaient: «mutatis mutandis!»: il suffit d’adapter ce qui doit être adapté.
Toutes relations sont essentiellement rapports et interactions avec l’environnement. Le tableau que voici:
La relation est essentiellement rapports et interactions entre les entités — choses ou phénomènes — présentes dans les environnements interne et externe d'un objet réel.
Les rapports sont conformés par les modèles d'échanges en cours dans un contexte donné.
Les interactions sont déterminées par les causalités sévissant dans un environnement donné.
Causalités et échanges constituent le régime régissant toutes formes de relations.
1.24.6 Applications à la Critique
La nature des échanges va déterminer la nature des rapports à l'objet d'analyse: positif, négatif, dithyrambique, renforçant, divergeant, diurétique [je suis poli...], agressif, amical etc.
Les causalités vont conditionner le modèle interréactionnel avec l'objet d'analyse:
-) typonomie: de quel genre d'objet s'agit-il; volet morphogenèse: dans quel sens évolue l'objet, quel est son historique etc;
-) téléonomie: quel est l'impact de l'objet sur la pérennité de l'Univers, la durée des êtres de nature, la survie de la biosphère et des humains [l'action des gens préoccupés par l'état de la planète et le futur de l'humanité est d'ordre téléonomique]; l'objet d'analyse favorise ou handicape la préservation, la défense, la promotion, le développement, l'épanouissement des individus, groupes, sociétés;
-) autonomie: dans quel mesure l'objet d'analyse favorise-t-il ou handicape-t-il l'autonomie des processus, des humains:
-) déontonomie: l'objet d'analyse favorise-t-il ou défavorise-t-il chez l'humain la satisfaction des besoins fondamentaux: besoins somatiques, psychiques, psychologiques, psychosociaux, socio-économiques; l'instinct de migration par exemple est inscrit dans la nature universelle: les galaxies migrent [Andromède et Voie lactée devraient se collisionner dans quelques milliards d'années]. les végétaux migrent, les animaux sur terre et en mer migrent, les humains migrent depuis l'ère des primates...
1.25 Argumentation: division des articles
L’argumentation est au coeur du présent répertoire. Il en est le noeud. Il importe donc de bien en comprendre la mécanique.
Comment donc l’argumentaire se développe-t-il en ces lieux que sont les nôtres ici? Comme suit!
Primo: le «De-quoi-c’est-dont-on-se-cause?».
La première section d’un article relate les faits posant question(s). S'il y a lieu, elle situe ces faits dans leurs contextes.
Deuzio: Analyse des faits évoqués.
La deuxième section se consacre à l’analyse de la question. Au besoin, présentation de la grille d'analyse utilisée.
Troizio: jugements de valeurs portés sur l’objet du débat en cours.
Cette section peut présenter une critique des valeurs en cause. Elle peut présenter les options préconisées par l'auteur de l'article.
Note: on peut consulter le chapitre 1.25.7-8 de l’exposé «L’intentionnalité universelle» concernant les jugements de valeurs.
1.26 Argumentation modulaire: le système
Dans ce répertoire, l’argumentaire constituant un débat se construit selon un schème modulaire.
La plupart des arguments intégrés dans un texte proviennent de modules qui ont leur existence propre par ailleurs. Il s’agit de textes pouvant émaner des lexiques, des exposés des répertoires métaphysiques, d’articles d’autres répertoires traitant de sujets connexes, voire d’apports externes à ce journel.
Tous ces modules sont interreliés lors de la rédaction du texte. Les liens explicatifs entre les modules intégrés constituent les matériaux propres au texte en cours de rédaction.
1.27 Politiques du présent journel.
Les “nétiquettes” n’ont pas leur place dans les débats. Par contre, les libelles diffamatoires sans fondements, les calomnies, les attaques vengeresses ne peuvent en rien fonder un débat.
Il importe cependant d’appeler les choses par leurs noms. Un argumentaire stupide, lubique, crétinistique est un argumentaire tel. On qualifie les choses par ce qu’ils sont. Bien sûr qualifier un argumentaire [et non la personne] de stupide constitue un libelle diffamatoire. Mais justifié quand justifié! La peur des mots est incompatible avec la notion de débat.
Dans ce répertoire, c’est comme ça que c’est comment c’est-il: franc et direct!
~II ~
L’AndroCritique:
Ce répertoire valorise donc la critique et les débats.
Mais la critique de quoi? Des débats à propos de quoi?
Nous sommes ici dans un journel axé sur la métaphysique. Bien!
Sauf que... quel est le lien entre critiques et débats d’une part; la métaphysique d’autre part?
Voyons voir...
2.1 Bref regard sur la métaphysique.
Nous nous causons ici d’une métaphysique qui source à la science. Elle ne peut pour autant se targuer d’un statut de «scientifique». La métaphysique n’est pas une science.
Qu’est-elle alors?
Ajoutons d’emblée qu’il n’existe pas une métaphysique mais des métaphysiques d’inspiration scientifique. Nous n’en traitons ici que d’une manière globale.
2.11 La métaphysique d'inspiration scientifique.
J'utilise l'expression «métaphysique d'inspiration scientifique» non parce que la métaphysique soit une science mais pour la distinguer des usages abusifs du terme. Il s'agit dans la pratique de se tenir loin des ésotérismes, spiritualismes et autres délires fabulatoires qui s'approprient indûment le terme.
Note. On peut consulter l’exposé «Intentionnalité universelle», la grille d’analyse métaphysique en tant que simulation du réel au chapitre 1.25.62.2.11.1 Nature de la métaphysique
La métaphysique n'est pas une science. Il importe plutôt de l'entrevoir comme une grille d'analyse élaborée à partir d'une compréhension actuelle des principes et lois physiques. Parce que la connaissance de ces principes et lois évolue, une grille d'analyse métaphysique ne peut se congeler comme un iceberg. Elle se veut obligatoirement évolutive, totalement fluide.
Quand de savant(e)s doctorisé(e)s nous enfoncent dans les rétines et tympans des «doctrines métaphysiques» d’un tel et d’un tel autre, c’est qu’il s’agit en fait d’idéologies. Or la métaphysique n’a rien à voir avec les idéologies.
Parce que la métaphysique n'est pas une idéologie, elle ne peut conséquemment adopter de schèmes doctrinaires. Elle ne se veut pas représentation du réel mais simulation de ce réel — à la manière des mathématiques. Qui va prétendre que les mathématiques sont une idéologie?
2.11.2 Les deux formes majeures
La métaphysique réflexive recherche, au cœur de la physique, les principes régissant toutes formes d’organisations meublant notre univers.
Dans le prolongement de la physique, la métaphysique appliquée tend à établir les liens nécessaires entre les principes universels et leurs applications chez les objets observés.
Le présent répertoire se positionne dans le prolongement de la métaphysique appliquée.
2.11.3 Les nomies
Ces principes émergeant de la physique en couvrent large. Ils réfèrent aux lois naturelles, aux déterminismes, contraintes, contextes, écosystèmes, rapports et relations, logistiques, tendances, forces, rapports de forces, forces centripètes et centrifuges, attractions, magnétismes, capacités, potentiels, virtualités, nécessités, hasards etc.
Un terme résume tout cela dans ce journel: les nomies.
Les nomies font partie d'une étude particulière dans le sous-répertoire «14» consacré à l'ontophysique [«Intentionnalité universelle, c. 1.42].
Ces nomies sont de quatre ordres:
-) Typonomie: ordre régissant les types d'êtres existant dans l'univers.
-) Téléonomie: ordre régissant la finalité ultime des êtres: pérennité de l'Univers, durée des corps physiques, survie des êtres de la biosphère.
-) Kinèséonomie ou autonomie: ordre régissant le mouvement.
-) Déontonomie: ordre régissant les conditions essentielles, nécessaires à la viabilité des êtres [rapports à la nécessité de nature» entre l'objet et son environnement externe d'une part; entre ses composantes internes d'autre part].
Ces termes seront rarement utilisés dans les articles publiés dans le cadre du présent répertoire. Quand on embarque dans une voiture, on ne voit pas les structures de la chose. Elles sont pourtant là! Il en est de même de la confection des articles du présent répertoire.
2.12 Simulation des connaissances scientifiques
Le concept mathématique suivant [graphique à la droite de la page]... Cette équation ne représente en rien l'image d'une galaxie bouffée par un trou noir.
L'équation simule pourtant un réel: les comportements de la nature régis par la loi de la gravité.
Les tableaux illustrant la grille d'analyse exercent les mêmes fonctions de simulation. Ces tableaux ne sont pas «représentationnels» mais «simulationnels».
2.2 La critique métaphysique
La critique métaphysique l'est essentiellement d’œuvres. Les oeuvres sont le produit d’un art, d’un savoir-faire; d'une (in)compétence. Notons que tout artefact, tout produit de l’humain, est une oeuvre — incluant les théories scientifiques et empiriques, les idéologies, les théologies etc.
Dans ce journel, l’usage qui est le nôtre du terme «critique» fait appel aux jugements de faits ainsi qu’aux jugements de valeurs portés sur des œuvres.
2.21 La critique artistique
Ces œuvres peuvent relever de l’Art, de l’Artisanat ou de l’Industrie.
Essentiellement et pour faire court,
-) L’Art vise la perfection de l’œuvre et entraîne la contemplation de l'icelle. La particularité de l'Art: s'avérer quasiment toujours inutile. L'Art existe pour se faire admirer et non pour servir au sens utilitaire du terme.
-) L’Artisanat vise l’usage de l’œuvre, donc l’utilité dans tous les sens et toutes les portées du terme. L'Artisanat maintient un lien avec l'Art: celui de viser une grande qualité de l’œuvre. Il peut donc allier beauté et utilité. Générer l’admiration et la jouissance [jouissance par l’usage]. L’architecture en est un exemple. La poterie, le tissage, le tricotage également.
-) L'artisterie — néovocable — volet industriel de l’art, vise l'habileté dans la production de l’œuvre ainsi que la multireproduction d’oeuvres identiques. L'industrie se veut productiviste. Elle s'avère essentiellement utilitaire. Elle maintient un lien avec l'ingéniosité, d'où le qualificatif «ingénieux». La notion s’applique à toutes formes de productions incluant le divertissement.
La critique de l’Art et de ses composantes relève d’avantage de la philosophie que de la métaphysique. La critique métaphysique va intervenir dans le contexte décrit ci-après. Le répertoire de ce journel consacré à l’Art a nom de MétArt [40].
2.22 La critique métaphysique.
La critique métaphysique va analyser la nature des objets observés, l'efficience des processus et l'efficacité des résultats, leur comportement, les valeurs qualitatives impliquées, ainsi que les idées élaborées à leur sujet d'une part; porter un jugement qualifiant ou disqualifiant d’autre part.
Jugement qualifiant: le propos analysé est conforme aux faits et aux valeurs.
Jugement disqualifiant: le propos analysé est non conforme aux faits et aux valeurs.
2.23 Les débats
La critique repose sur un ou des argumentaires qui en l’occurrence ici, doivent reposer sur les principes universels. Tout argumentaire toutefois génère ses anti-argumentaires. À toute thèse correspond une antithèse. La résolution d’une telle opposition n’est pas nécessairement dans l’élaboration d’une synthèse mais dans un choix thétique [choix d'une interprétation que l'on estime en adéquation avec l'objet réel]. L’argumentaire a pour fin la validation d’un tel choix.
D’où inévitables débats. Ce répertoire qui multiplie les thématiques opère donc sur le mode “débats”.
Pour participer, on publie son commentaire à la fin de l’article. On peut également cocher une appréciation personnelle.
~ III ~
Rédaction:
La rédaction des articles associés au présent répertoire emprunte une approche similaire dans la plupart des cas, respecte une éthique propre à ce journel et ne se préoccupe guère de la contemporanéité des sujets.
3.10 Les titres
Les titres inscrits à la légende du journel prennent la forme suivante:
Date: celle de la publication.
Thème: arts, constitutions, écologie, économie, politique, social etc.
Objet d'analyse: ce sur quoi porte le débat.
Description(s): question, sujet, point de vue etc.
Comme suit:
Date Thème; objet: description(s).
3.1 La structure des textes
La critique fait donc appel aux jugements de faits d’abord, aux jugements de valeurs ensuite.
Les débats comportent trois parties:
3.11 Prolégomènes
TITRE 0
Les prolégomènes comportent au besoin six sections:
0.1 Préface. Présente le contexte du débat.
0.2 Symbolique des couleurs. La couleur de base du texte est d’un vert très pâle. Cinq couleurs sont porteuses de significations [voir 0.5,].
0.3 Préalables. Font appels à des articles de ce journel constituant les fondements de l'article en cours.
0.4 Références. Réfèrent à des œuvres externes au présent journel.
0.5 Terminologie. Réfère aux termes utilisés d’une manière générale dans ce répertoire.
0.6 Introduction. Introduit le sujet de l'article en annonçant le contenu des trois titres du corps de l’article.
3.12 Le corps de l'article
Le corps de l'article comporte trois titres.
TITRE I
Ce titre s’évertue à présenter les faits bruts ainsi que leurs contextes.
TITRE II
Celui-ci analyse les faits à l’aide de la grille d’analyse développée en ce journel. L’usage de cette grille est sous-jacent à tous les articles. On peut comparer le produit fini à une sauce: les ingrédients sont fusionnés dans un ensemble et donc individuellement invisibles quoique détectables. Certains éléments de la grille peuvent cependant être exposés pour le bénéfice de l’argumentaire.
TITRE III
Ce dernier prend position. La forme que prendra cette prise de position dépendra du sujet débattu d’une part; de la thématique concernée d’autre part: écologie, économie, politique, social, etc.
Les titres se divisent en chapitres: 1.1, 1.2, 1.3, etc
Les chapitres se divisent en sections: 1.11, 1.12, 1.13 etc.
Les sections se divisent en paragraphes: 1.11.1, 1.11.2 etc.
3.13 Épilogue
Au besoin, l'épilogue comprend trois chapitres.
Conclusion.
La conclusion résume et conclut le débat en cours.
Débats apparentés.
L’Épilogue réfère au besoin à d'autres articles du présent journel ou à des débats similaires quelque part sur la planétoile.
Renvois.
Les renvois réfèrent au besoin à des œuvres externes susceptibles de contribuer à l'approfondissement de la thématique.
3.2 Éthique
Notons que les débats portent sur des FAITS ainsi que les VALEURS liées à ces faits - ce qui exclut de ce répertoire les attaques personnelles... en principe!
À cette règle contreviennent les thématiques où les débats portent sur des personnes: politiciens, athlètes, etc.
La politique du présent journel: les argumentaires de nature conflictuelle, enrichis d’une personnalisation des débats, sont reportés au répertoire «50 L’AndroGuerrier» d’une part; au répertoire «70 Lucifériques Royaumes de la haine» d'autre part, répertoires ouverts à la virulence. À l’occasion, le répertoire «80 L’AndroSongé» peut également griffer la bouille de quelques personnages.
Règle générale, le présent répertoire se consacre aux débats d'idées.
3.3 Contemporanéité des débats;
Les débats ne s'inspirent pas nécessairement de l'actualité. Les questions débattues peuvent remonter assez loin dans le temps.
C'est la pertinence qui dicte les choix. La valeur de permanence de thèmes justifie leurs rétentions et intérêts.
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Je vidange:
1) les libelles diffamatoires;
2) les attaques personnelles gratuites et/ou sans rapports avec le propos;
4) le racisme sous toutes ses formes
5) ainsi que les textes incompréhensibles parce que trop mal rédigés.
6)En passant,j'ai activé le correcteur de texte. J'apprécierais que l'on s'en serve...