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Le présent blogue est en chantier. La présente phase vise les objectifs suivants: 1) rédiger et publier la présentation générale du journel ainsi que la présentation des répertoires et sous-répertoires; 2) développer le lexique propre à ce journel; 3) réformer certains articles publiés depuis 2011; rédiger et publier les notions et concepts métaphysiques “urgents” requis à la compréhension des articles publiés ou à publier. Il ne faudrait donc pas s'étonner que des modifications soient régulièrement apportées aux libellés du site ainsi qu'à la structure et au contenu des articles.

11/15/2019

80- 2019-11-15: Social Québec; Taxer la distance plutôt que l’essence: Projet anti-écologique!





1- Préalables


0 Présentation générale; 0.1 Le présent journel.
0 Présentation générale; 0.2 Symbolique du montage graphique.
00 Lexiques; 1 Présentation générale.
00 Lexiques; 2 Lexiques et dictionnaires: usages et abusages.
80 L'AndroSongé; 1 Présentation; De grimaces et de songitude...


2- Symbolique des couleurs


À retenir; Définitions; Liens; Notes; Termes importants.

3- Références

3.1 Une taxe kilométrique pour la survie du réseau de transports: Journal La Presse de Montréal.
3.2 Taxer les kilomètres, plutôt que l’essence: Journal La Presse de Montréal.
3.3 Automobile : la taxe kilométrique est-elle la solution? Le Journal de Montréal.
3.4 Taxer le kilométrage plutôt que l'essence: Radio-Canada.
3.5 Pour une hausse marquée du prix de l’essence: Journal de Montréal.
3.6 Jean Paul Lauzon: Wikipédia.

4- Terminologie


Catégorie:
Le Petit Terminaire; Le Grand Notionnaire.
Journel:
Le Petit Terminaire.
Paralogie, paralogisme:
Le Petit Terminaire.
Planétoile, planétoilaire:
Le Petit Terminaire.

5- Androsongeries


5.0 Présentation


Voici des propositions émanant d'idéologies "one track mind" qui carburent à la paralogie: 

TAXER LA DISTANCE 
PLUTÔT QUE L'ESSENCE !!!!
GRETA THUNBERG: AU SECOURS !


5.01 Paralogies, paralogismes

Qu’est-ce qu’un paralogisme?
Dans la section 4 ci-haut, un lien est offert vers notre lexique «Le Petit Terminaire», lequel balise les acceptions du terme admis dans le présent journel.

En résumé, un paralogisme se définit dans ce journel comme un argumentaire qui a toutes les apparences d’une démarche logique quant à la forme mais constitue une errance quant au fond, générant ainsi des conclusions aberrantes.

Telles errances peuvent être attribuables à une mauvaise interprétation ou compréhension des contextes propres aux questions abordées ou à une errance rationnelle de type catégoriel. À propos des acceptions reconnues dans ce journel du terme «catégorie» ainsi que de la notion de «catégorie», dans la section 4 ci-haut, un lien est offert au Petit Terminaire [acceptions] et au Grand Notionnaire [Notion]. Je ne ferai cependant pas appel à cette notion logique dans ce billet.


5.02 Paralogismes sectaires

D’où peuvent bien émaner ces errances dites paralogiques? S’il n’en tient qu’à l’économiste Léo-Paul Lauzon, la défense et la promotion de l’univers pétrolier au Québec sont attribuables au “lobby” du pétrole. Ce “lobby” inclut des pétrolières, des journaux, des politiciens... Le lecteur peut prendre connaissance de l’article de Lauzon cité en 3.5 ci-haut.
Le vocable angloïde «lobby» m’horripile au plus haut point. Nous sommes francophones que je sache. Le terme francophone approprié est «secte».

Qu’est-ce qu’une secte?
Réponse: Petit groupe animé par une idéologie doctrinaire [Le Lexis].
Que signifie sectaire?
Réponse: qui appartient à une secte de nature idéologique.
Cette idéologie doctrinaire peut être de type religieux, mais également séculier. Le néo-libéralisme est une idéologie doctrinaire, pure déviation d’un libéralisme économique sain.

5.1 De quoi et de qui s’agit-il?


On peut se référer aux liens offerts à la section 3, également effectuer sa propre recherche sur la planétoile. 

5.11 De quoi s’agit-il?

En résumé, une certaine mouvance dans les milieux économiques milite pour substituer à la taxe sur le pétrole une taxe sur la distance parcourue par les véhicules routiers.
On argue notamment:
-) (Sur)taxer le pétrole alors que l’électricité ne l’est pas constitue une forme d’injustice économique.
-) La baisse actuelle et prévue de la vente de produits pétroliers (essence, mazout) cause des manques à gagner pour l’État.
-) Taxer la distance parcourue favoriserait le financement du transport en commun.

5.12 De qui s’agit-il?

La proposition “sectarise” [le mot n’est pas dans les dictionnaires mais grammaticalement bien construit, on peut l’ajouter à son vocabulaire] le Conseil québécois du patronat, des universitaires, la Chambre de commerce de Montréal [Notons: de MONTRÉAL!], la CAA-Québec...
En passant, CAA signifie «Canadian Automobile Association»... Cet organisme pourrait avoir la décence de franciser son nom au Québec! Organisme colonisé à l’os! Cela dit, quelle mouche a piqué cet organisme pour l’inciter à rejoindre ce mouvement?
On aura compris que le Conseil du Patronat accueille parmi son membriat [Ce vocable également n’est pas dans les dictionnaires mais bien construit, on peut l’introduire dans son vocabulaire] les directions des pétrolières et commerces oeuvrant dans les domaines pétroliers. Pour l’objectivité, on repassera!
La Chambre de commerce de Montréal s’adule naturellement le nombril montréalais. Ce qui se passe ailleurs en province, bouf!
Quant aux “experts” – à l’expertise plus idéologique que rationnelle – préconisant le transfert de la perception des taxes à la subvention du transport en commun, on n’en a également que pour les centres urbains. Les régions... bouf!

5.2. Argumentaire I

Injustice à l’échelle panquébécoise


Promouvoir une telle mesure fiscale, c'est penser en contexte de sectes urbaines décrochées du réel panquébécois!

5.21 Équité à l’échelle provinciale

Un(e) résident(e) de la couronne Nord ou Sud travaillant à Mtl va parcourir une distance moyenne aller-retour de ±100km par jour, incluant des commissions aux supermarchés ou dépanneurs après le travail. Calculé sur 365 jours ÷ 52 semaines = ±700km par mois. 
Un(e) commerçant(e), professionnel(le) ou chef(fe) d'entreprise à Chandler, Gaspé, en visite d'affaires à Mtl, aller-retour, va cumuler une distance de 2 000km en quelques jours.
Un(e) commerçant(e), professionnel(le) ou chef(fe) d'entreprise à Rouyn-Noranda, voyage d'affaires à Mtl aller-retour, va cumuler 1250km en quelques jours. 
On appelle cela de l'équité provinciale?

5.22 Support au transport en commun

De quel transport en commun s’agit-il? 
Réponse: celui des centres urbains!
La taxation des distances parcourues partout au Québec devrait financer le transport en commun du Montréal métropolitain, Québec, et quelques villes suffisamment peuplées. Cela me rappelle la surtaxation des produits du tabac à l’ensemble de la province pour financer le stade olympique de Montréal. Le Québec régional ne devrait exister que pour assurer la survie et le développement des centres urbains. Bel exemple de justice distributive.

Causons donc du financement des transports publics par la surtaxation de l'essence. Une bêtise!
Sans viser des profits lucratifs, le transport en commun doit s'avérer viable. Pour cela, doit charger ce que ça coûte. Dans ma municipalité, je paye $11 pour 5 passages. Ridicule!
Contre la hausse des tarifs, on fait valoir en certains milieux que cela défavorise les pauvres, les assistés sociaux etc. Qu’en penser?
1) Les transports publics, comme toutes entreprises, doivent viser la viabilité à défaut de la rentabilité. C’est une question de survie.
2) Les transports publics ne sont pas des agences d'aide sociale.
3) Pour les personnes à la retraite bénéficiant des pensions gouvernementales uniquement, que les pensions s'ajustent. Les Libéraux fédéraux promettent une augmentation de ±$80 par mois. Le Bloc devrait soutenir cette mesure. Ces revenus de retraite devraient suffire pour financer l’usage du transport en commun. Les retraité(e)s ne vont quand même pas travailler tous les jours.
4) Pour l'aide sociale, que des allocations soient prévues pour fournir des droits de passages, X nombre par mois. Ou toutes autres mesures similaires. C’est l’aide sociale qui doit s’occuper de l’aide sociale, pas les transports en commun.
5) Pour les familles avec enfants, les allocations fédérales et provinciales sont plus que généreuses. Suffisantes pour payer des droits de passage en transports publics.

Bref, la presque totalité du territoire québécois qui n’a ni la masse populationnelle ni les moyens financiers de se payer un service de transport public devrait financer celui des grands centres! Ces narcissiques centres urbains ne sont même pas conscients qu’ils sont à s’aduler leurs nombrilistiques égos! Ce ne sont que pures logiques sectaires et aberrantes. 

5.3. Argumentaire II

Manière de trucider la viabilité du transport des marchandises


Le gros des flottes de camions au Québec s’alimentent au pétrole. Des modèles de camions électriques sont construits au Québec et le camionnage s’électrifie lentement mais progressivement.

5.31 Combustibles fossiles

L’usage de carburant fait partie des dépenses des entreprises de camionnage et des camionneur(e)s indépendant(e)s également. Ce étant, ces frais sont déductibles d’impôt, ne fut-ce que partiellement.
Un camion n’est pas une automobile. Le carburant fait partie des “investissements” pour produire un revenu. En principe, devrait être déduit du revenu brut. Par carburant, entendons le coût du produit et des taxes.
Si une taxe est fixée pour la distance, payable on ne sait trop comment, de deux choses ou l’une ou l’autre:
-) Cette taxe serait déductible d’impôt, alors pourquoi la charger?
-) Cette taxe ne serait pas déductible d’impôt et alors, on fragilise la rentabilité du camionnage.
Ce sont de grand(e)s penseur(e)s universitaires et industriel(le)s qui nous pondent de telles aberrations?

5.32 Électrification

Les mêmes deux arguments s’appliquent:
-) Cette taxe serait déductible d’impôt, alors pourquoi la charger?
-) Cette taxe ne serait pas déductible d’impôt et alors, on fragilise la rentabilité du camionnage.
Ce n’est pas tout!
Afin de baisser le taux de C02 émis dans l’atmosphère, le Québec préconise l’électrification des transports tant personnels que commerciaux.
Le Québec injecte 12 milliards de dollars pour passer au vert. Ces montants devraient intéresser les municipalités et les entreprises privées. Alors si d’une part on subventionne l’achat de véhicules verts et que d’autre part on taxe les distances parcourues, quels sont les avantages réels pour le camionnage électrifié?

5.33 Quelles distances taxer?

Les entreprises de camionnage et les camionneur(e)s indépendant(e)s qui charrient des végétaux à mes yeux contaminés du Mexique au Québec seraient taxé(e)s sur quelle distance? Devraient payer des taxes pour les distances parcourues au Mexique et aux US-No-Name-Of-America? Vraiment?
Les camionneur(e)s qui trimbalent les carcasses de porcs au port de Vancouver devraient payer le Québec pour la distance parcourue hors Québec? Sérieusement?

5.34 Et les locomotives?

Il n’y a pas que le transport routier qui biberonne du pétrole: le transport sur rails également!
On remplacerait les taxes sur le mazout que ces entreprises ne paient quasiment pas pour des taxes sur la distance? Parce que si on taxe tout transport sur la distance, on taxe toute ou rien pantoute!
On taxerait ces entreprises sur les distances parcourues à la grandeur du Canada? Ce pour financer le transport en commun de Montréal, Rives-Nord et Rives-Sud, Québec, Lévis, Sherbrooke...

5.35 Contrôle des distances

Par ailleurs, comment va-t-on contrôler les distances parcourues?
Déjà, dans les milieux de reventes d'automobiles, on joue avec les odomètres. Même si les odomètres sont maintenant informatisés, ce n'est que du code. Entrer dans le système informatique d'une voiture s’avère loin d'être impossible... sauf pour des incompétents en la matière comme moi! Je ne comprends rien au codage informatique et je suis une statistique largement majoritaire. Mais c'est possible! Et les jeunes apprennent de plus en plus à coder, ce depuis des décennies!
Rien de moins qu’une invitation à la fraude!

5.36 Bref...

Quand on pousse ces paralogies à leurs limites, on se rend compte dans quelles aberrations on patauge!


5.4. Argumentaire III

«Je-m’en-foutisme» au regard de la crise écologique planétaire


Aberrations totalement psychotisées du contexte de la crise écologique!

5.41 taxe sur pétrole = taxe sur distance

Argument apparemment indéniable, indubitable, voire incontestable: en payant la taxe sur l'essence, on paye déjà pour la distance! Ben oui... Sauf que...
La taxe sur l'essence n'est pas d'abord une taxe sur la distance mais sur le garrochage de CO2 dans l'atmosphère! Si on veut éliminer ce garrochage insensé de polluants dans l'air, il faut augmenter la taxe sur l'essence et ne taxer l'électricité qu'aux tarifs normaux liés à la consommation de biens et services.
Il est urgent d'effectuer le transfert du pétrole à l'électricité et le seul moyen efficace: s’attaquer aux comptes en banque! Ce qui équivaut à surtaxer l’essence, le mazout, l’huile à chauffage etc. 

5.42 Taxes sur le pétrole = injustice

On argue que les voitures électriques sont avantagées. Come on! Que l'on taxe les bornes électriques, incluant les bornes domiciliaires!

On dira que taxer les bornes est irréaliste. Les négativistes qui ainsi cogitent dévoilent à la face de la planète qu'ils et elles n'ont pas le calibre intellectuel et les compétences pour implanter un système viable et performant. Devraient se la fermer!
Venons-en cependant au coeur du problème soulevé.

La surtaxation du pétrole (essence, mazout) créerait une injustice profitant à l’électrification des transports privés et commerciaux. Ainsi, les voitures électriques éviteraient toutes participations aux transports en commun, entretien des routes etc.
Or ces usages des surtaxes ne sont que cela: des usages. L’objectif doit être ailleurs:

FAVORISER LE TRANSFERT
DU PÉTROLE À L’ÉLECTRICITÉ
DANS LES TRANSPORTS ROUTIERS.

Par conséquent faut-il éviter de taxer stupidement les moyens de transport électrifiés, autos ou camions. L'électrification des transports est un important moyen de combattre les émissions de CO2, en ces temps de crises écologiques et climatiques!
Il faut ABSOLUMENT limiter ces émissions, disent les physiciens.
Listen to science, dit Greta Thunberg ... Yes, Girl!
Propos qui n’intéressent pas les acteur(e)s dont nous avons fourni une énumération sommaire ci-haut en 5.12.

5.5 Argumentaire IV

L’argument de l’utilisateur(e) payeur(e)...


Ces grands penseurs mâles et femelles, pour utiliser le bestiaire angloïde, osent parler d'utilisateur(e)s payeur(e)s...
HOW DARE YOU! dirait Greta...

5.51 Les non-utilisateur(e)s payeur(e)s

Je suis un non-utilisateur payeur... Et je suis une statistique!
-) Je n'ai pas de voitures... Pourquoi mes taxes paient pour les autoroutes, les ponts?
-) Quand je vais faire mes emplettes aux supermarchés et autres grandes surfaces, ma facture inclut une portion du coût du stationnement sur le coût des produits. Pourquoi ai-je à payer pour cela quand peu d'endroits disposent de stationnements pour bicyclettes? De fait, dans mon coin, des stationnements pour bécanes, ça n'existe pas! À peine quelques équipements pour les cadenasser... Alors pourquoi dois-je assumer le coût de l’entretien des stationnements sur mes achats?

5.52 Que les utilisateur(e)s payent!

Feu l’ex-Premier ministre Parizeau avait éliminé les payages des autoroutes et ponts afin de favoriser le «Oui» au référendum de 1995. Or la réponse majoritaire de la population fut «Non»! Il eut été malavisé de réinstaller les payages...

Or on opine que les taxes doivent financer l’entretien des routes. Qu’à cela ne tienne! Utilisateur(e)s payeur(e)s: que l'on réinstalle les payages! Électrique ou essence, tout le monde va payer! Or il arrive que ces grands penseurs mâles et femelles soient absolument contre! 
Dans les villes, les automobilistes hurlent en masse contre les parcomètres, objets plus traumatisants dans leurs vies que l'apparition d'une maladie vénérienne! Les parcomètres sont pourtant un excellent moyen de financer l'entretien des rues. Et s’appliquent tant aux voitures électriques qu’à essence. Le grand principe “utilisateur(e)-payeur(e)”... Préconisé tant que pas appliqué!

On cause en coulisses que les taxes sur le pétrole devraient également servir à financer les voies municipales publiques. Excellente idée!
Ajoutons que lors du renouvellement des plaques d'immatriculation, une taxe devrait être perçue pour les municipalités, question justement de donner un coup de main à l'entretien des rues.  La taxe irait à l'adresse de résidence. L’idée est brillante, donc ne sera jamais implantée!
Enfant, ma mère me donnait les $$ pour payer la plaque sur ma bicyclette. Ces plaques ont disparu. Les réintroduire créerait tout un tollé mais ce serait la chose à faire! Une bicyclette utilise les voies publiques. Utilisateur(e)s-payeur(e)s! Ça risque de ne jamais revoir le jour...

Poussons l’analyse plus loin... Utilisateur(e)s payeur(e)s: que l'on installe des parcomètres sur les stationnements des centres commerciaux! 

5.53 Taxes déguisées?

«Encore des maudites taxes déguisées»
Pantoute!
Tous ces payements le sont pour des biens et services, comme lorsque que l'on paye pour son épicerie, l'achat de ses guenilles, une maison ou un loyer, ses médicaments, ses capotes...
Sauf que les payements s'effectuent aux instances étatiques plutôt que privées.
Les payages sur les routes contournant le grand Toronto  de même que sur un pont à Montréal sont fixés par le privé. Les néo-capitalistes ont ancré dans la cervelle des gens que cela est correct.
Mais qu'un payage soit établi par l'État québécois comme sur la #30 entre Beauharnois (rive-sud) et la #20 (rive-nord), c'est-y pas ÉCOEURANT!

5.54 Bref...

Alors ça se croit intelligent(e)s en prônant le principe de l'utilisateur(e)-payeur(e)?
HOW DARE YOU! 
Merci Greta...

5.6 Concluons...


Le paralogisme est devenu un mode dominant d'ergotage, cancérisant l'information publique. Ces grands penseurs mâles et femelles ne sont même pas conscients qu'ils divaguent en empruntant des attitudes de grand(e)s connaisseur(e)s. 

«Je ne pense pas que l’enjeu soit technologique. L’enjeu, c’est qui osera mettre ça en place. L’autre enjeu, c’est comment gérer les récalcitrants. Mais pour moi, élaborer une taxe kilométrique, ça relève de l’évidence.» [Cf. l’article, lien en 3.2]
Catherine Morency, titulaire de la Chaire Mobilité de Polytechnique Montréal

Madame pense trop en vase clos... Enclos universitaire et enclos montréalais.
Surtout, que la dame ne perçoive pas le paralogisme de son point de vue qu'elle caractérise "d'évidence" constitue une errance qui confine à l'aberration!
Les doctorats "sociaux", voire "économiques" sont quasiment devenus des bébelles offertes en cadeaux dans ces boîtes de Cracker Jack que sont devenues les universités. 
Désolant!





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